Le crépuscule tombait sur la capitale du Reike, teintant de rouge et d'or le ciel d'Ikusa avant de laisser place aux premières étoiles, la course de l'astre lunaire et finalement la nuit étoilé. La tombé de la nuit était souvent pour les nobles de ce royaume l'occasion de se rendre en quelques soirées épique entre gens du grand monde, notamment le bal donné se soir là ou le seigneur Golrtha ne manquerait point de se rendre, il l'avait savoir à son entourage des bien des jours avant, ce bal devait lui permettre de paraitre a son meilleur jours et permettre de poursuivre son ascension dans la caste des nobles.

Aussi devant paraitre sous son meilleur jours et dans ses meilleurs atours a ce bal, Golrtha ne pouvait se permettre d'emmener avec lui sa créature. Certes Brak'Trarg avait son utilité et il s'y était grandement attaché, affectivement parlant ... mais tout de même, il n'avait pas du tout sa place, dans un bal de cette importance.

C'est ainsi qu'un peu au dernier moment, Golrtha se rendit seul au bal, fermant a clé ses appartement situé dans une aile du palais réservé au logement des noble de la cour. Enfermé dans l'appartement avec son diner se trouvait donc Brak'Trarg la créature esclave de Golrtha. Terminant sa portion de viande accompagné d'eau Brak'Trarg sentait le sommeil l'appeler a lui, la journée ayant été assez chargé il était temps de dormir de toute façon maître Golrtha n'aurait plus besoin de lui avant le lendemain.

Brak'Trarg s'allongea sur son tapis près de la cheminée, son regard porté sur le bon feu y crépitant, il ferma doucement ses neuneuils mâchouillant distraitement son grand os entre ses crocs tandis que le sommeil finissait par l'emporter complétement. ses deux grand marteaux posé a coté de lui a porté de paluche.

...

un temps indéfini plus tard son sommeil fut troublé par un léger bruit de bois qui grince, et qui ne provenait nullement de la porte d'entré ce qui aurait signifié que le maître était de retour. Le bruit semblait provenir d'une des pièces latérales donnant sur la rue. Dans une première poigné de fraction de secondes Brak'Trarg cru a un bruit dans un rêve et décida de point s'en soucier. ... Mais quand une seconde plus tard ce n'était plus un bruis de bois grinçant qui se fit entendre mais plutôt un bruit de pas évoluant dans la pièce.

Brak'Trarg ne reconnaissant pas a l'oreille la façon de marcher de son Maître, il ouvirt les yeux en sursaut attrapant ses marteaux il marcha de son pas le plus léger vers la pièce d'ouvenait le bruit avant d'en ouvrit brusquement ouvrir la porte y entrer et de demander d'une voix encore teinté de sommeil mais ferme.

" Y a quelqu'un montrez vous grumpf. "

_ Ah... Ikusa.

Méo vit la silhouette monter dans le fiacre qui s'éloigna rapidement dans la nuit. Caché dans l'angle du batîment, il avait longuement guetté son départ.
Et hop, en voiture Simone.
Se munissant d'un grappin, il le lança vers le ciel et tirra ensuite sur la corde, s'assurant que ce dernier était bien fixé à la balustrade. Entamant son ascension, il repensa à la semaine passée. Comment sa troupe avait repéré ce noble en visite dans leur cirque, comment ils l'avaient suivi jusqu'à chez lui, et comment ils l'avaient ensuite surveillé durant tous le reste de la semaine.Le portier avait ensuite été facile à soudoyer et bientôt, la troupe eut vent du bal. Ils tenaient leur opportunité.
Un vrai travail de pros ! Héhé!
Continuant l'escalade du batiment, il souriait. Habituellement paré d'une multitude de couleurs le petit lumina avait pour l'occasion revêtu une tenue d'un noir intégral ainsi qu'un masque de diablotin afin de recouvrir intégralement sa peau lumineuse.
Arrivé sur le balcon souhaité, il s'accroupit devant la fenêtre, guettant un instant ce qu'il se passait à l'intérieur. Les pièces étaient plongées dans l'obscurité, rien ne bougeait, aussi décida-t-il d'entrer, forçant la fenêtre qui s'ouvrit dans un grincement.
Et mierda !
Du bout des orteils, il se laissa glissé sur le parquet de ce qui semblait être un petit salon. Il avait à peine fait quelques pas que la porte à sa gauche s'ouvrit à la volée et que ce qui lui semblait être une montagne de muscles lui lança :

_Y a quelqu'un montrez vous grumpf.

Mais c'est quoi ce bordel?!
Méo effectua instinctivement une roulade avant, allant se tapir dans l'ombre du coin de pièce le plus proche, se cachant sous une petite console en bois précieux. Il retenait à présent son souffle, espérant que ce qu'il prenait pour un monstre sorti tout droit de ses pires cauchemars n'avait pas eut le temps de voir sa manœuvre.
C'est quoi ça?!
Il pouvait à présent mieux détailler celui qui se tenait à l'entrée de la pièce, malgré l'obscurité, il pouvait à présent voir que l'individu faisait plus de deux fois sa taille et certainement des dizaines de fois son poids. Le sommet de son crâne semblait recouvert par ce que Méo prit tout d'abord pour une sorte de crête imposante. Pour le reste, il n'en voyait pas plus, il pouvait simplement deviner que le monstre était armé de deux masses imposantes, une dans, chaque main. Caché comme un mulot dans son trou, la panique commençait à gagner chaque cellule de son corps et par conséquent des gouttes de sueur commençaient à perler sur la peau de son front emprisonnée sous son masque.
Mais quelle bande de cons....
Si jamais il se sortait vivant de ce nid de guêpes, il allait certainement avoir une très longue explication avec les membres de la troupe.
Je vais les tuer...

La pièce du petit salon étant plus basse de plafond que le grand salon depuis lequel il venait, Brak'Trarg sentait le haut de ses cheveux épousseter le plafond de plus étant plus petite il savait que le lustre n'était pas bien loin de sa tête. Ne voulant se le payer en pleine poire une fois rentré dans le petit salon et ayant émit sa somation.

Brak'Trarg du se résoudre s'il souhaitait évoluer dans cette pièce sans rien renverser a plier ses jambes et vouter son dos tout a s'appliquer
a appuyer du coude sur la plaque de rune magique qui commande l'allumage du lustre.

Ce dernier allumé la pièce se trouva instantanément baigné de lumière, faisant voir à Brak'Trarg deux chose la première, c'est que oui c'était bel et bien la fenêtre qui fut à l'origine du bruit de grincement qu'il avait précédemment entendu, mais ce qui retint son attention c'était la silhouette noire d'un gros chat ou peut être un petit gorille lové sous la console en face de la fenêtre.

A demi demi intrigué de voir qu'un chat ou gorille ou autre animal ait atterrit ici après avoir ouvert la fenêtre, d'où pouvait t'il bien venir du toit ou de la façade, difficile a dire tout deux étant bien difficile d'accès et normalement surveillé. Mais en même temps il était a demi rassuré au moins ce n'était visiblement pas un assassin venu s'en prendre à maitre Golrtha.

Remettant ses deux marteaux croisé dans son dos Brak'Trarg, s'approcha accroupi a pas lent et tranquille de la console montrant bien ses mains vide en geste de non agression. Il n'était plus qu'a un mètre et demi de la silhouette qu'il pensait toujours (fatigue aidant ) être un animal peureux qui se serait égaré.

Quand il lui lança d'une voix plus tranquille et amicale que précédemment "allons allons petit n'ai pas peur je te ferait rien du tout, dis moi comment tu est arrivé là ? hein "

Lorsque la lumière s'alluma,il cru bien que son cœur allait lâcher.
Bordel, non ! Mais depuis quand les monstres savent-ils se servir des interrupteurs ?
Maintenant qu'il pouvait intégralement voir son vis à vis... Eh bien il n'était pas plus rassuré. Ce qu'il avait tout d'abord pris pour une crête était en réalité une étrange crinière couleur feu et non seulement elle surplombait bien une montagne de muscles mais celle-ci avait la particularité d'être d'un vert vif.
Ça... Ce n'est pas commun.
Le titan était bel et bien armé, il avait dans chaque main, un énorme marteau, l'un argenté et l'autre noir. En imaginant ce qu'aurait pû produire cette masse en venant écraser son petit crâne, le lumina se mit à pâlir derrière son masque.
Je suis tellement mort.
Toujours replié sous la console, ses muscles refusaient de fonctionner tant il était pétrifié par la peur.
Le géant s'avança alors vers lui. Sa carrure semblait telle qu'il devait fléchir les jambes afin de progresser dans le salon.

_Allons allons petit n'ai pas peur je te ferait rien du tout, dis moi comment tu est arrivé là ? hein

Hein ?
Méo était confus. Ce colosse le prenait-il pour un animal errant ? En y songeant bien, il fallait admettre qu'il ne ressemblait pas à grand chose d'autre, tapis ainsi sous un meuble, d'ailleurs en cet instant, Méo aurait donné n'importe quoi pour être un chat de gouttière. Mais le monstre allait bien finir par découvrir le pot aux roses, il n'était plus qu'a un mètre de lui à présent.
Décidant de jouer le tout pour le tout, Méo effectua une nouvelle roulade avant, passant entre les jambes du géant avant de se redresser d'un bond juste derrière lui, les mains levées en signe d'apaisement.

_ Je... Désolée, je ne suis pas un chat...

Mais qu'est que je raconte moi ?
Paniqué, il essayait d'articuler ses pensées comme il le pouvait.

_ Je ne veux pas d'ennuis moi non plus...

Et puis quoi encore ? Je suis stupide mais pas fou !

_ Je... Je peux partir dès maintenant, et tu ne me reverras jamais plus, c'est promis.

Le lumina masqué regarda la fenêtre située entre eux.
Il ne pourrait l'atteindre sans risquer un coup, et vu la force de celui qui lui faisait face, il ne se relèverait pas.

Alors c'est ainsi que je vais mourir ?

Brak'Trarg terminait de s'approcher les paumes vide de sens mains bien visible envers l'animal lové effrayé, pour ne pas lui faire peur davantage. Arrivé à moins d'un mètre il esquissa de sa paluche droite un mouvement de de début de caresse sur la tête un sourire affectueux et tendre au visage. Mais soudain ..... tout bascula quand "l'animal" bondit soudainement en avant ce qui imprima chez Brak'Trarg un mouvement de recul instinctif du à la surprise.

Pendant ce temps "l'animal" visiblement doté de la souplesse des chats , effectua une roulade en avant experte entre les jambes de notre ami vert et velu orange, pour se redresser derrière lui d'un bond les mains levée bien haut .

Se retournant vers cette petite créature noire, inconnue et décidément pleine de surprise, Brak'Trarg en ouvrit la bouche de surprise quand il l'entendit parler. Comme quoi il ne faut décidément présager de rien dans la vie. l'anim.. L'inconnu balbutia visiblement paniqué

"_ Je... Désolée, je ne suis pas un chat...
Je ne veux pas d'ennuis moi non plus...
Je... Je peux partir dès maintenant, et tu ne me reverras jamais plus, c'est promis."

la panique se lisait dans sa voix , au timbre c'était un homme. cela afficha une mine désolé sur le visage de Brak'Trarg, si il avait été un animal errant Brak'Trarg l'aurait caressé rassuré et même donné a manger et à boire le cas échéant avant de le laisser repartir sans aucun soucis ... MAIS dans le cas d'un intru , dans les appartement de son maître et de surcroit dans le palais royal du Reike il ne pouvait le laisser passer , et encore moins laisser l'inconnu s'enfuir.

d'un pas de mouvement rapide (du a sa connaissance parfaite des lieux), Brak Trarg , se calla dos contre la fenêtre qu'il referma de ses mains dans son dos tout en fixant sans interruption l'intru du regard il chercha un instant a tâtons sur le mur le long de la menuiserie quand enfin ses doigts rencontrèrent une autre plaque de runes magique qu'il actionna et qui elle ferma immédiatement les volets en bois de la fenêtre et descendre la grille de métal entre les volets et la fenêtre coté extérieur.

Une fois cela fait Brak'Trarg tenta de prendre son visage et sa voix les plus rassurant qui soit pour ne pas donner de crise cardiaque a son interlocuteur, déjà paniqué. (bien que sa carrure et sa voix grave n'aiderait pas).

" _ Bon mon gars ça va pas être possible non seulement tu t'est introduis dans les appartement de mon maître le seigneur Golrtha, mais en plus on est dans le palais. si je vous laissait partir ..." s'interrompit Brak'Trarg son corps commençant a trembler d'effroi a ce qu'il allait évoquer ensuite,

" Maître Golrtha me fouettera de son fouet a éclair et ça c'est ...... hhhooorible, je ne le souhaiterait pas a mon pire ennemi, ..... Grumpf"

Le colosse se retourna, le toisant de toute sa taille avec une expression que Méo aurait presque qualifié de surprise. Son vis-à-vis dû s'apercevoir qu'il lorgnait sur la fenêtre car il alla aussitôt se placer devant, la refermant et abaissant les volets par la même occasion.
Et mierda...
La transpiration au niveau de son front était telle à présent qu'elle dégoulinait sur son petit visage, lui brulant les yeux au passage. Il sentait ses jambes trembler et il était presque certain qu'il lui serait impossible de courir sans risquer une chute.
Oh non... Pas ça...

_ Bon mon gars ça va pas être possible non seulement tu t'est introduis dans les appartement de mon maître le seigneur Golrtha, mais en plus on est dans le palais. si je vous laissait partir ...

Le géant marqua une pause.
Méo avait toujours peur, néanmoins, quelque chose chez cette montagne de muscles lui paraissait bien plus humain qu'il ne l'aurait pensé. Son coeur se mit à ralentir quelque peu et il s'autorisa à expulser le trop plein d'air coincé dans ses poumons.
Pfyuuuh... Un être civilisé.
Si Méo n'était qu'un piètre combattant, il était en revanche un très bon négociateur... et un très bon embobineur également. De nombreuses fois son baratin avait réussi à le sortir de situations épineuses.
Cette fois-ci, cette fois là... ah oui, et là aussi, pfuuh, j'avais eut chaud aux miches.

_Maître Golrtha me fouettera de son fouet a éclair et ça c'est ...... hhhooorible, je ne le souhaiterait pas a mon pire ennemi, ..... Grumpf.

Méo fronça les sourcils derrière son masque. Il venait de remarquer les chaines aux chevilles du géant. Tout se mit alors en place dans son esprit.

_Tu... t'es un esclave?

Il posa une main sur son coeur en guise de bonne foi. Et il l'était.

_Ecoute, je l'ai été moi aussi... Je sais ce que c'est d'avoir un maître qui nous en met plein la tronche... Et je te promets, si tu me laisses partir, ce sera comme si rien de tout cela ne s'était jamais passé... Et on ne te fera pas de mal.

Il le regardait droit dans les yeux au travers de son masque et plus il ressentait la peur de celui qui était en face de lui, moins il ressentait la sienne.

_Je ne veux pas te causer d'ennuis, et je vois bien que tu es aussi embêté que moi par cette situation..

Aller, soit sympa mon grand, j'ai des saltimbanques à nourrir moi...Et j'aimerais encore vivre quelques siècles, me marrier, avoir un chien...

Brak'Trarg se trouvait bien embêté d'avoir montré une faille de peur a son interlocuteur, le maître lui ayant toujours enseigné lors du dressage qu'il ne fallait montrer aucune faille lors d'un combat à son adversaire car c'était le meilleur moyen de faire laminé, et qu'un esclave se faisant laminé trop souvent devient inutile et donc ... Cette pensé terrifia Brak'Trarg mais en même temps il y avait chez son interlocuteur inconnu(e), un je ne sais quoi qui incitait a lui faire confiance, ou tout du moins lui accorder le bénéfice du doute. Ce qui faisait que Brak'Trarg ne se sentait pas en danger avec lui, bien qu'il lui faille jouer son rôle que sa lui plaise ou non.

Avant qu'il ne puisse se morfondre et tergiverse davantage, il fut interrompu dans son fil de pensées par la question de son interlocuteur.

"_Tu... t'es un esclave?" posant par la suite sa main sur son cœur et lui disant qu'il comprenait sa situation qui les embêtait tout les deux, tout en lui promettant de partir comme si il n'était jamais venu sans se faire de mal.

Brak'Trarg était plus embêté encore, qu'auparavant il voyait bien que son interlocuteur avait l'air sincère ou alors il était très bon acteur. Mais Brak'Trarg refusait d'envisager cette dernière hypothèse, préfèrent la possibilité qu'il soit tout gentil comme lui. Cependant il lui avait dit avoir été esclave et il en semblait plus l'être ... était il seulement possible que ... l'on puisse ne plus être esclave. Brak'Trarg n'avait jamais osé évoquer son rêve de liberté a haute voix et là il avait en face de lui quelqu'un ayant sauter le pas et brisé ses chaine il devait en savoir plus avant de la laisser repartir.  

Respirant un grand coup, et regardant son interlocuteur de son air le plus neutre possible Brak,Trarg croisa ses bras et montra deux de ses doigts en disant

" Bien ptit gars , avant d'envisager seulement la possibilité de ton relâchement, j'aurait DEUX grandes condition" ponctua Brak'Trarg avec un sourire se voulant amical.

Reprenant une nouvelle petite respiration, Brak'trarg enchaina,

"La première je veux que tu enlève immédiatement ce masque et me dise qui tu est , j'aime savoir a qui j'ai à faire." Brak Trarg s'interrompant pour tendre l'oreille un instant puis assuré audiblement parlant qu'il n'y avais personne autour il enchaina un ton plus bas.

" Et la deuxième Je sou... VEUX savoir comment t'a fait pour ne plus être esclave, et aussi le reste de ton histoire, on a toute la nuit ou presque alors n'hésite pas a entrer dans les détails " Termina Brak' Trarg affichant une frimousse d'espoir d'avoir une belle histoire avant de retourner au panier, et aussi peut être un moyen d'avoir la possibilité d'entrevoir sa liberté.

Le colosse semblait pensif, et plus les secondes passaient, plus le sang de Méo recommençait à bouillir sous ses tempes. En avait-il trop dit ? Ce mastodonte était-il entrain de réfléchir à la manière la plus appropriée pour lui de se débarrasser du saltimbanque?
C'est sûr que c'est ça... Bon d'accord, mais je t'en supplie, n'abîme pas mon magnifique visage !
Il se mit à se tortiller nerveusement, se balançant d'un pied sur l'autre.
Le géant leva soudain deux doigts énormes vers lui et se mit à parler d'un ton posé ce qui intrigua d'autant plus Méo.

_ Bien ptit gars , avant d'envisager seulement la possibilité de ton relâchement, j'aurait DEUX grandes conditions. Dit-il en souriant.

Des conditions?...
Décidément, il n'avait pas à faire à n'importe qui.
Sa survie était donc négociable ? Voilà qui était intéressant.
Il s'arrêta de sautiller, montrant à son interlocuteur qu'il avait toute son attention.
Que veux-tu ? Je peux t'offrir ce que tu désires, l'argent, les femmes, la célébrité... Dit tout à Méo trésor.
Il avait beau être un vagabond, le petit lumina avait le bras long et assez de charisme pour obtenir à peu près tout ce qu'il était possible de souhaiter pour le commun des mortels.
Les avantages d'être une star de renommée mondiale je suppose...

_La première je veux que tu enlève immédiatement ce masque et me dise qui tu est , j'aime savoir a qui j'ai à faire.

Quoi ? C'est tout ? Bon toi, faut que je t'apprenne à négocier mon loulou.
A peine eut-il pensé cela qu'il eut envie de se marteler le front à coup de poings. Son visage était loin d'être méconnaissable. S'il lui révélait, il aurait tôt fait de connaître son identité. Lui et son maître qui lui semblait à présent bien plus effrayant que le géant debout en face de lui.

_Et la deuxième Je sou... VEUX savoir comment t'a fait pour ne plus être esclave, et aussi le reste de ton histoire, on a toute la nuit ou presque alors n'hésite pas a entrer dans les détails

Méo resta silencieux un court moment avant de lever les mains pour défaire le ruban qui maintenait le masque en place.
Bien,si je n'ai pas le choix.
Son visage apparut alors, lui et l'étrange aura doré émanant de la peau du Lumina.
Il s'inclina alors de manière théâtrale, souriant.

_Je suis Méo Strallez, plus connu sous le nom d'homme étoile. Je ne suis qu'un humble artiste de cirque de passage à Ikusa...

Il se redressa, plaçant une nouvelle fois sa main sur sa poitrine.

_Je suis honoré par l'intérêt que tu me portes et je me ferais un plaisir de te parler de ce qu'a été ma vie durant ces derniers siècles...

Il s'assit alors en tailleur à même le sol, écartant les bras pour inviter son vis-à-vis à en faire de même.

_ Ce sera long alors n'hésite pas à t'asseoir.

Le sourire de Méo était doux, confiant. Il était à présent certain qu'il ne lui ferait pas de mal.

_ Puisque je m'apprête à te raconter ma vie, pourrais-je savoir aussi à qui vais-je la conter ?

Après un moment de silence flotant et indécis entre les deux protagoniste les mains de l'intru s'approchèrent de son masque pour le retirer dévoilant un visage bien singulier, irradiant de lumière dorée. Par la suite le petit gars se présenta à la façon des troubadours sous me nom de Meo Strallez dit l'homme étoile, homme de cirque, et à la façon dont il se mouvait et son visage Brak'Trarg n'avait aucun mal à la croire.

par la suite Meo se perdit en petites flatterie, avant d'inviter Brak'Trarg a s'asseoir tout comme lui, du moins c'est comme cela que Brak'Trarg l'interpréta, étant fort peu habitué aux flatteries à son égard, du fait ben ..... de sa condition sociale d'esclave. Même si Meo semblait inoffensif Brak'Trarg ne pouvait plas ignorer qu'il s'était introduit par effraction et sans doute initialement doté de mauvaise intentions dans les appartement de son maitre le seigneur Golrtha.

Aussi sans le quitter des yeux Brak'Trarg prit le temps de refermer à clé les portes de la pièces ou ils se trouvait avant de s'asseoir le dos collé à la fenêtre en face de lui. commentant ce qu'il venait de faire par " tu m'a pas l'air méchant mais je ne peut pas ignorer que tu est entré masqué par effraction donc quelque précautions sont de mise rien de personnel à cela" dit Brak'Trarg avec le sourire.

Puis une fois assit et ses marteaux posé au sol a coté de lui, Brak'Trarg réfléchit un petit moment a comment il allait formuler ce qu'il allait dire puis commença de sa voix grave de titan mais amicale dans le ton "Eh bien autant commencer alors, mon histoire est assez courte et simple pour être résumé ainsi né esclave à Taisen, je fut vendu a 4 ans à mon aître actuel qui me nomma Brak'Trarg , veillant entre autre a faire de moi une bête de guerre et de combat dans les arènes ou non sans une certaine fierté j'ai assuré en gladiateur. maintenant à toi narre nous ton histoire mon cher Meo. " termina brak avec un geste de la main et sourire amical en direction de Meo.

Le géant l'observait, impassible. Quand il lui proposa de s'asseoir avec lui, il alla tout d'abord fermer la porte. Méo ne scilla pas. Ni les portes, ni les fenêtres n'avaient jamais été un problème pour lui, il n'avait qu'à claquer des doigts pour se retrouver derrière.
Enfin, je n'ai même pas à claquer des doigts à vrai dire...
Mais ce geste lui montrait la méfiance qu'éprouvait celui qui lui faisait face. Il comprenait parfaitement à quoi elle était liée, d'ailleurs son vis-à-vis ne tarda pas à le lui rappeler.

_ tu m'a pas l'air méchant mais je ne peut pas ignorer que tu est entré masqué par effraction donc quelque précautions sont de mise rien de personnel à cela

Le colosse fini par poser ses armes, s'asseyant à son tour, dos à la fenêtre.
Méo souriait, feignant une certaine assurance, était malgré tout sur ses gardes.
Bon, eh bien au moins je n'ai pas l'air méchant, je suppose que c'est un bon point pour moi.

_Eh bien autant commencer alors, mon histoire est assez courte et simple pour être résumé ainsi né esclave à Taisen, je fut vendu a 4 ans à mon maître actuel qui me nomma Brak'Trarg , veillant entre autre a faire de moi une bête de guerre et de combat dans les arènes ou non sans une certaine fierté j'ai assuré en gladiateur. maintenant à toi narre nous ton histoire mon cher Meo.


Méo écoutait, silencieux comme il l'était rarement. Il entendait les mots du géant et pourtant il c'était sa vie qu'il revoyait défilée en pensées. Néanmoins, lorsque son interlocuteur eut finit de parler, il ne pu s'empêcher de parler avec un fond de tristesse dans la voix.

_Tu as été vendu si jeune...Personne ne devrait avoir à vivre cela.

Il secoua légèrement la tête, chassant ses idées sombres d'un large sourire.

_ Je suis enchanté en tout cas Brak'Trarg.

Il se mit alors à lui raconter. Il lui raconta tout, sa naissance au sur cette île au firmament du monde il y'a de cela cinq siècle, comment il s'était senti vide de toute émotion et de toute envie jusqu'à sa capture par un marchand d'esclave. Il lui raconta également la peur et l'humilitation qu'il avait ressenti durant ses longues années en tant qu'esclave et comment son maître l'avait choisi et construit de toute pièce, comme une simple marionette. Il lui parla de ses entraînements, de comment il était devenu l'homme étoile et de comment, grâce à un meurtre sordide, il avait pû le rester et gagner sa liberté.

_Elle a un prix, toujours...


Il fini par lui dire pour la raison qui l'avait pousser à entrer dans l'appartement cette nuit là , pour les cambriolages.

_ Je ne suis pas méchant, néanmoins, je suis prêt à tout pour garder la troupe. Il m'a fallu plusieurs siècles pour le comprendre mais voilà qui je suis, un emmerdeur égoïste et égocentrique , souvent un couard par-dessus le marché, mais un couard qui ne laissera jamais tomber sa famille. Ils sont pour la plupart d'anciens esclaves eux aussi, et il est hors de question pour moi de les laisser retomber dans cette barbarie.

Il semblait si sérieux soudainement. En s'en rendant compte il lâcha un petit rire nerveux, se frottant la nuque.

_ Enfin...J'espère ne pas t'atirrer d'ennuis... je sais à quel point les maître peuvent être cruels...

Quand Brak Trarg s'assit dos à la fenêtre et qu'il put davantage dévisager son, interlocuteur lumineux Méo. Brak'Trarg ressenti de la compassion pour lui surtout quand il cru déceler un pointe de tristesse chez Méo, quand il lui raconta son histoire. C'était subtil et probablement des affabulation farfelue dans un coin de la caboche de Brak'Trarg mais il cru avoir le sentiment d'un vécu mutuel entre Méo et lui, sans doute idiot comme idée ou impression, mais Brak'Trarg ne pouvait s'empêcher d'éprouver de la sympathie pour Méo. Comme disait le père Andreus dans ses offices "il faut savoir tendre la main à son prochain".

Quoi qu'il en soit quand Méo commenta son histoire comme quoi personne ne devrait subir l'esclavage aussi jeune Brak'Trarg ne put retenir un chouinement de tristesse et d'approbation à la fois. Puis ce fut à Méo de raconter son histoire.


Et là autant au début de l'intrusion de Méo il se méfia un petit peu de lui autant là .... il avait de la compassion pour lui et avait grandement envie de lui venir en aide. Cependant il y avait, un élément de son histoire qui choqua Brak'Trarg. Autant Brak'Trarg rêvait de liberté et était près a quasiment tout pour l'obtenir autant la simple pensée de Tuer son maître pour y parvenir le répugnait et lui faisait grandement horreur, cependant il s'abstient de juger pour autant Méo, bien que leur histoires est beaucoup de point communs elle n'en était pas moins différentes.

Brak'Trarg cependant une fois que Méo ait terminer de parler, lui répondit " même si je comprend que ton histoire est différente de la mien bien que fort ressemblante sur le font, jamais je ne songerait à assassiner mon maître, pas que je l'aime bien, mais le tuer m'apporterait bien plus d'ennuis que de bénéfices et de plus malgré sa dureté il m'a tout de même apporté une certaine éducation en terme de lecture art du combat et autre choses martiales, j'aurait put tomber pire. Enfin si je le tuait je serait un fugitif au Reike hors je souhaite ardemment rester fidèle a mon pays alors pense plutôt tout faire pour avoir mon affranchissement dans les règles."


marquant une pas que pour reprendre son souffle et réfléchir un instant aux dernière parole de Méo et sa famille d'anciens esclaves, Brak'Trarg reprit, "Je ne peut pas te laisser emporter le moindre objets de valeur tu le comprend aisément, ni la moindre pièce, cependant je peut toujours te passer une bonne miche de pain frais quelques fruits et autre petites provisions pour ta troupe je n'aurait qu'a dire à Maître Golrtha que j'ai eut une grosse faim. mais c'est tout ce que je puis faire, et si tu essaye de subtiliser quoi que se soit ... aussi gentil et bien intentionné que tu soit, et pour peu que ce terme puisse s'appliquer dans la situation, je serait contraint de me battre contre toi et t'amener dans les griffes de la garde pour cambriolage et vol en flagrant délit, et vu comment il traite les voleurs et criminel au Reike je ne te le souhaite VRAIMENT pas. "

Le géant l'observait et Méo pouvait lire sur son visage la compassion qu'il éprouvait. Ce sentiment était réciproque.
Le petit saltimbanque trouvait son interlocuteur touchant. Il aurait aimé le rencontrer dans une autre situation, un autre lieu. Néanmoins il ne regrettait pas cette soirée, il aimait faire de nouvelles rencontres.
La base de la vie de vagabond.
Il espérait que malgré le fait qu'il ait tenté de cambrioler l'appartement de son maître, ils resteraient en bon termes.

_Même si je comprend que ton histoire est différente de la mien bien que fort ressemblante sur le font, jamais je ne songerait à assassiner mon maître, pas que je l'aime bien, mais le tuer m'apporterait bien plus d'ennuis que de bénéfices et de plus malgré sa dureté il m'a tout de même apporté une certaine éducation en terme de lecture art du combat et autre choses martiales, j'aurait put tomber pire. Enfin si je le tuait je serait un fugitif au Reike hors je souhaite ardemment rester fidèle a mon pays alors pense plutôt tout faire pour avoir mon affranchissement dans les règles.

Méo comprenait. Ce type là avait bien plus de scrupules qu'il n'en aurait jamais. Il respectait cela.
J'espère que tu trouveras le moyen de faire les choses à ta manière...Même si ça peut prendre du temps. Beaucoup de temps.

_Je ne peut pas te laisser emporter le moindre objets de valeur tu le comprend aisément, ni la moindre pièce, cependant je peut toujours te passer une bonne miche de pain frais quelques fruits et autre petites provisions pour ta troupe je n'aurait qu'a dire à Maître Golrtha que j'ai eut une grosse faim. mais c'est tout ce que je puis faire, et si tu essaye de subtiliser quoi que se soit ... aussi gentil et bien intentionné que tu soit, et pour peu que ce terme puisse s'appliquer dans la situation, je serait contraint de me battre contre toi et t'amener dans les griffes de la garde pour cambriolage et vol en flagrant délit, et vu comment il traite les voleurs et criminel au Reike je ne te le souhaite VRAIMENT pas.

Mais... il me prends pour un mendiant?
Méo secoua la tête, agitant frénétiquement les mains.

_ Nananananan. J'ai renoncé à mon cambriolage à l'instant où je t'ai vu.

Il se frotta à nouveau la nuque, riant.

_Je suis stupide mais je tiens à la vie. Comme tu peux le voir, je ne suis par armé, et ma carrure à elle seule ne serait vraiment, VRAIMENT, pas suffisante pour ne serait-ce que m'en sortir indemne...

Il lui offrit un sourire sincère, se remettant d'un bond sur ses deux pieds.

_ Et puis, je t'apprécie Brak', ce ne serait pas correcte de t'attirer des ennuis après tant de confidences.

Il effectua une pirouette sur lui même, la mine joviale.

_Je suis peut-être un cambrioleur, mais j'ai des principes!

Le lumina irradiait plus franchement, laissant sa lueur dorée rayonnée autour de lui.Ses yeux bleus se plongèrent dans ceux du colosse.

_ J'espère sincèrement que tu pourras retrouver ta liberté, tu le mérites. J'espère que tu pourras alors tracer ta propre voie, faire quelque chose qui te rendra heureux.

Quand Brak'Trarg eut terminé de parler Méo secoua négativement la tête et agita les mains en dénégation une certaine panique pouvant ce discerner sur son visage a la fois lumineux et palissant, pour peux que le paradoxe grammatical soit applicable. Brak'Trarg était quelque peu déstabilisé de son coté il faisait ce qu'il pouvait pour ne pas trop paniquer son interlocuteur, mais Méo était visiblement très impressionnable.

Quoi qu'il en soit, Méo signifia à Brak'Trarg qu'il avait renoncé à l'idée de son cambriolage, et que au vu de la carrure de Brak'Trarg, il ne lui viendrait pas à l'idée d'essayer. ce qui fit faire un demi sourire à Brak'Trarg d'un coté appréciant que l'on reconnaisse sa puissance physique, mais d'un autre coté effrayer méo n'était pas ce qu'il recherchait sur le moment. Ensuite Méo se releva sur ses deux pieds disant qu'il appréciait Brak'Trarg et lui offrant le spectacle d'une chouette pirouette de clown comme il avait dû si bien apprendre à les faires dans la troupe.

Même si ce n'était pas un vrai spectacle en soit Brak'Trarg ne put s'empêcher d'applaudir un petit instant a bas volume, tout en attendant ce que Méo allait dire ensuite. Il termina par dire qu'il avait des principes et espérait que son coté Brak'Trarg puisse lui aussi trouver la liberté.

Tout ceci laissa un drôle de creux dans le cœur de Brak'Trarg, ne sachant si il était heureux ou autre chose. Mais concernant Méo il était heureux de l'avoir croisé les circonstances aussi singulière soit elle. Puis prenant une respiration il se leva à son tour libérant la fenêtre il dit " hmm tu m'a l'air d'être un bon petit gars Méo, tu ramène peut être aucun butin, mais tu vien tte faire un poto Titan," dit Brak Trarg ne gonflant l'un de ses gros bras avant de reprendre

" par contre jure moi une chose quand je serait affranchi et/ou quand tu fera une représentation dans le coin garde moi une bonne place tu m'a vraiment bien piqué niveau curiosité et ne dirait franchement pas non à voir ta troupe à l'œuvre sur la scène. A part cela si tu repasse dans le coin et pour peu que tu a besoin d'un titan je serait ravi de te donner un coup de main pour peu que se soit pas quelque chose de mal ni de hors la loi la dessus je serait inflexible hein. " termina Brak'Trarg en un grand sourire viril et amical.

avant de se diriger vers la plaque de rune magique puis de l'enclencher pour rouvrir les volets et la grille de fer qui fermait la fenêtre et enfin de rouvrir cette dernière  et de conclure sur.

" Je te retiendrait pas plus longtemps Méo si tu souhaite t'en aller, j'ai été ravi aussi de faire ta connaissance même si comme tu le dit en des circonstances différentes cela eut été mieux haha ".      

H.R.P:

Toute la nervosité du petit lumina s'était définitivement envolée. Il avait à présent l'impression de se trouver avec un ami de longue date, une véritable personne de confiance.
Ce fut alors comme si le géant venait de lire de ses pensées. Il se leva, lui disant:

_Hmm tu m'a l'air d'être un bon petit gars Méo, tu ramène peut être aucun butin, mais tu vien tte faire un poto Titan.

Méo lui offrit un immense sourire jovial, ravi de ce qu'il entendait.

_Par contre jure moi une chose quand je serait affranchi et/ou quand tu fera une représentation dans le coin garde moi une bonne place tu m'a vraiment bien piqué niveau curiosité et ne dirait franchement pas non à voir ta troupe à l'œuvre sur la scène. A part cela si tu repasse dans le coin et pour peu que tu a besoin d'un titan je serait ravi de te donner un coup de main pour peu que se soit pas quelque chose de mal ni de hors la loi la dessus je serait inflexible hein.

Le petit lumina laissa son sourire s'agrandir d'avantage, executant une nouvelle pirouette, la mine enthousiaste. Qu'on lui demande de voir sa troupe à l'oeuvre était toujours très flatteurs à ses oreilles.
Mais avec un immense plaisir!
Les derniers mots firent néanmoins rosirent ses joues. Le petit saltimbanque n'était pas habitué à la bonté spontanée. Après cinq cent ans à silloner le globe, il pouvait affirmer que les individus comme ce gentil titan étaient une denrée rare.
Ce dernier se dirigea vers la fenêtre, actionnant l'ouverture des volets, puis réouvrant l'issue par laquelle Méo était entré. L'air frais de la nuit pénétra aussitôt dans la pièce, faisant sautiller les boucles blondes sur le front du lumina.

_Je te retiendrait pas plus longtemps Méo si tu souhaite t'en aller, j'ai été ravi aussi de faire ta connaissance même si comme tu le dit en des circonstances différentes cela eut été mieux haha

Méo s'approcha de la fenêtre, ses yeux parcourant l'atmosphère nocturne de la capitale Reikoise. Il se tourna ensuite vers le colosse, posant une de ses petites mains gantées de rouge sur le bras imposant de ce dernier, souriant.

_ Je te promets que nous nous reverrons Brak', et cette fois, cela sera en tant qu'amis et... dans un cadre parfaitement légal.

Il eut un petit rire, effectuant un nouveau pas de danse, laissant de petites particules lumineuses voleter autour de lui.

_Mes gars et moi sommes au Reike à chaque mi-saison et nous produisons dans chacune des grandes villes... Alors tu n'auras guetter l'arrivée de la troupe de l'homme étoile.

Il lui offrit un dernier sourire d'ange avant de remettre son masque, dissimulant son aura lumineuse. Prenant appuie sur la fenêtre, il verrifia que son grappin était toujours bien fixé à la ballustrade avan de finalement se mettre en appuie contre la façade du bâtiment, en position de rappel.

_ A bientôt mon grand, et en attendant nos retrouvailles, surtout, prends soin de toi.

Le petit saltimbanque se laissa alors glisser le long de la corde,sa petite silhouette disparaissant alors, engloutie par l'obscurité.