Un dimanche beau soleil, les oiseaux chantaient sur le toit du magasin de Deurk, il faisait beau et la semaine s’était plutôt bien passé, il avait eu plusieurs clients qui lui avait acheté différents objets. Le renouvellement des stocks étaient plutôt bien partie, bref une bonne semaine qui venait de se passer. Le gobelin profitait du week end quand il reçut un courrier, ce qui était plutôt inhabituel pour un dimanche. L’antiquaire interpela donc le facteur.
- Pourquoi vous venez un dimanche, je ne suis pas censé recevoir quoi que ce soit.
-Monsieur, il y a le sceau présidentiel dessus.
Le gobelin lâcha son balai qui tomba sur le sol et il s’empressa d’ouvrir la lettre. Il était convoqué au bureau de la présidence normalement il aurait peut-être un peu enthousiasmé qu’on commence à reconnaitre sa valeur mais la dernière partie de la lettre laissait craindre le pire. Il devait ramener tous les documents concernant l’acquisition de son commerce. La créature aux yeux rouges ne comprenait pas pourquoi. Si il avait bien fait une chose légalement c’était acquérir son commerce les sous venait essentiellement de sa famille et des différents clans gobelin de Sekai. Il n’avait aucun doute là-dessus alors pourquoi était-il convoqué est ce que Deurk avait contrarié la présidence d’une quelconque manière et on voulait le lui faire payer. Il était particulièrement inquiet et commença à chercher les raisons qui auraient pu amener cette convocation.
Rapidement la première idée qui vint à l’esprit c’était que quelques jours avant après avoir bu quelques bières, il avait critiqué les décisions politiques du parti au pouvoir. Il avait notamment expliqué sa désapprobation quant à la politique d’échange des ressources avec leur voisin guerrier. Etait-il possible que quelqu’un l’est balancé ? Une personne qui voudrait le nuire… Ou nuire à sa famille. Le gobelin n’avait jamais pensé subir une attaque aussi vicieuse qui pourrait mener jusqu’à la présidence. Ou alors c’était peut-être le loup garou qui avait détruit le toit de la maison de ses parents. Cela serait pourtant étonnant le garde semblait avoir un sens de la parole plutôt élevé.
En tous les cas, l’antiquaire avait extrêmement peur si il y avait une saisie de son commerce, il ne saurait sans doute pas quoi faire ensuite ou une amende peut être même allait-il être endetté ou ruiner. Plutôt mourir que de devenir pauvre.
Le gobelin partit donc le jour même pour arriver le lundi à Liberty. Ne souhaitant pas inquiéter ses parents, il avait pris la liberté d’aller dormir dans une auberge près de la maison bleue. Enfin dormir était un bien grand mot, l’anxiosité de Deurk ne l’aida pas à se coucher. Il avait amené l’ensemble des papiers et se préparait à n’importe quelle conversation avec la présidente. Il était à la fois honorer et inquiet à l’idée de rencontrer cette dernière.
Arrivé à 8h30 à la maison bleue, on ordonna au gobelin de s’assoir dans une chaise placé dans une sorte de couloir d’attente. Il était seul. Assis seul ce mardi matin le gobelin attendait l’instant fatidique.
- Pourquoi vous venez un dimanche, je ne suis pas censé recevoir quoi que ce soit.
-Monsieur, il y a le sceau présidentiel dessus.
Le gobelin lâcha son balai qui tomba sur le sol et il s’empressa d’ouvrir la lettre. Il était convoqué au bureau de la présidence normalement il aurait peut-être un peu enthousiasmé qu’on commence à reconnaitre sa valeur mais la dernière partie de la lettre laissait craindre le pire. Il devait ramener tous les documents concernant l’acquisition de son commerce. La créature aux yeux rouges ne comprenait pas pourquoi. Si il avait bien fait une chose légalement c’était acquérir son commerce les sous venait essentiellement de sa famille et des différents clans gobelin de Sekai. Il n’avait aucun doute là-dessus alors pourquoi était-il convoqué est ce que Deurk avait contrarié la présidence d’une quelconque manière et on voulait le lui faire payer. Il était particulièrement inquiet et commença à chercher les raisons qui auraient pu amener cette convocation.
Rapidement la première idée qui vint à l’esprit c’était que quelques jours avant après avoir bu quelques bières, il avait critiqué les décisions politiques du parti au pouvoir. Il avait notamment expliqué sa désapprobation quant à la politique d’échange des ressources avec leur voisin guerrier. Etait-il possible que quelqu’un l’est balancé ? Une personne qui voudrait le nuire… Ou nuire à sa famille. Le gobelin n’avait jamais pensé subir une attaque aussi vicieuse qui pourrait mener jusqu’à la présidence. Ou alors c’était peut-être le loup garou qui avait détruit le toit de la maison de ses parents. Cela serait pourtant étonnant le garde semblait avoir un sens de la parole plutôt élevé.
En tous les cas, l’antiquaire avait extrêmement peur si il y avait une saisie de son commerce, il ne saurait sans doute pas quoi faire ensuite ou une amende peut être même allait-il être endetté ou ruiner. Plutôt mourir que de devenir pauvre.
Le gobelin partit donc le jour même pour arriver le lundi à Liberty. Ne souhaitant pas inquiéter ses parents, il avait pris la liberté d’aller dormir dans une auberge près de la maison bleue. Enfin dormir était un bien grand mot, l’anxiosité de Deurk ne l’aida pas à se coucher. Il avait amené l’ensemble des papiers et se préparait à n’importe quelle conversation avec la présidente. Il était à la fois honorer et inquiet à l’idée de rencontrer cette dernière.
Arrivé à 8h30 à la maison bleue, on ordonna au gobelin de s’assoir dans une chaise placé dans une sorte de couloir d’attente. Il était seul. Assis seul ce mardi matin le gobelin attendait l’instant fatidique.