Je sors du carrosse avec mon père, conscient qu’il s’agit là d’une occasion très spéciale. Le chef de notre famille travaillant pour le grand argentier du Royaume de Reike, il est souvent invité à ce genre d’évènement, même si celui-ci est en peu spécial car il ne se déroule pas au sein de notre grande nation mais dans une des demeures les plus luxueuses que j’ai jamais vu, en plein coeur de la capitale de la République, Liberty.
Je suis impressionné par tout ce que je vois, nous n’avons pas de demeure très riche par chez nous et c’est bien pour cela que mon paternel est là ce soir, le propriétaire de cette bâtisse étant le propriétaire d’un empire immobilier. S’il arrive à un accord avec ce dernier, ce sera toute notre nation qui en profitera, mais il reste, comme d’habitude imperturbable et j’essaie de faire de même. Cela n’est guère facile, car la guerre civile fait rage, avec ces fichus barbares qui prennent nos villes les unes après les autres.
La fête se passe bien et j’ai mon petit succès, sûrement dû au fait que j’ai l’air exotique devant ces demoiselles de la haute société. Beaucoup me parlent de la dernière mode ou des potins sur leurs propres dirigeants, alors que je conserve une prudence neutralité, n’étant pas là pour me faire des ennemis. Cette liberté de ton me surprend quelque peu, n’étant pas habitué à ce genre de chose.
Après avoir bu quelques coupes de champagne, j’ai besoin de prendre un peu d’air frais et puisqu’il y a un magnifique jardin, autant en profiter, le climat aride du Reike ne permet pas ce genre de fantaisie. Il n’y a pas grand monde, et je me retrouve vite seul, ce qui n’est pas pour me déplaire. Au bout de quelques minutes, j’arrive au fond de jardin, une grille menant à l’extérieur est ouverte et curieux, je m’avance un peu.
Le spectacle que je vois me glace d’un coup, je peux voir deux gardes au sol, sans doute mort si j’en crois les taches de sang qui ont commencé à se répandre sur le sol. Je me secoue et m’apprête à opérer un demi-tour, mais trois silhouettes sortent des ombres et je me retrouve piégé ! En plus, je n’ai pas mon arme avec moi, l’ayant laissé à l’entrer !
Je vois un des meurtriers me regarder droit dans les yeux et me dire d'un ton peiné :
Désolé, mon gars, tu es au mauvais endroit, au mauvais moment.
Je suis impressionné par tout ce que je vois, nous n’avons pas de demeure très riche par chez nous et c’est bien pour cela que mon paternel est là ce soir, le propriétaire de cette bâtisse étant le propriétaire d’un empire immobilier. S’il arrive à un accord avec ce dernier, ce sera toute notre nation qui en profitera, mais il reste, comme d’habitude imperturbable et j’essaie de faire de même. Cela n’est guère facile, car la guerre civile fait rage, avec ces fichus barbares qui prennent nos villes les unes après les autres.
La fête se passe bien et j’ai mon petit succès, sûrement dû au fait que j’ai l’air exotique devant ces demoiselles de la haute société. Beaucoup me parlent de la dernière mode ou des potins sur leurs propres dirigeants, alors que je conserve une prudence neutralité, n’étant pas là pour me faire des ennemis. Cette liberté de ton me surprend quelque peu, n’étant pas habitué à ce genre de chose.
Après avoir bu quelques coupes de champagne, j’ai besoin de prendre un peu d’air frais et puisqu’il y a un magnifique jardin, autant en profiter, le climat aride du Reike ne permet pas ce genre de fantaisie. Il n’y a pas grand monde, et je me retrouve vite seul, ce qui n’est pas pour me déplaire. Au bout de quelques minutes, j’arrive au fond de jardin, une grille menant à l’extérieur est ouverte et curieux, je m’avance un peu.
Le spectacle que je vois me glace d’un coup, je peux voir deux gardes au sol, sans doute mort si j’en crois les taches de sang qui ont commencé à se répandre sur le sol. Je me secoue et m’apprête à opérer un demi-tour, mais trois silhouettes sortent des ombres et je me retrouve piégé ! En plus, je n’ai pas mon arme avec moi, l’ayant laissé à l’entrer !
Je vois un des meurtriers me regarder droit dans les yeux et me dire d'un ton peiné :
Désolé, mon gars, tu es au mauvais endroit, au mauvais moment.