Mes réserves étaient épuisées et j’étais sans nouvelles de mon dealer depuis un moment. Heureusement on m’avait informé d’un apothicaire qui, à en croire la rumeur, fabriquait lui-même ses drogues. On m’avait même dit que le fameux Lacrimosa, c’était lui. Je m’étais donc enfoncée dans les bas-fonds de liberty à la recherche de ce chimiste acclamé par ses clients.
On était au beau milieu de la nuit et il faisait froid. J’avais fait une mauvaise rencontre, un type même pas alcoolisé qui marchait avec une jeune femme. Ils s’engueulèrent soudainement quand j’arrivai à leur hauteur,puis il la frappa, violemment, deux fois du poing puis du genou dans le ventre et je restai là, abasourdie. Il avait alors porté son attention sur moi et décidé que je serais sa prochaine victime, laissant l’autre femme s’enfuir. Il me pris par les bras et je le regardai, impassible. Ses intentions étaient claires aussi ne lui laissai-je pas le temps de me mettre sous la gorge le couteau qu’il avait sorti et l’envoya se cogner la tête de l’autre côté de la rue d’un coup de poing en plein visage. Sachant qu’il ne bougerai plus pendant un moment, je le pris par les cheveux pour dégager son cou et commença à boire tout mon saoul. Il ne ferait plus jamais de victimes.
M’éloignant d’un pas rapide je m’essuyai la bouche sur un mouchoir que je cachai ensuite dans la poche de mon pantalon. J’étais de mauvaise humeur. Je trouvai son échoppe dans une ruelle lugubre, tout à fait à mon goût. Je la savais ouverte à mon intention : j’avais « pris rendez-vous » avec lui via l’un de ses associés. Je réajustai ma capuche sur ma tête : Pas question d’être reconnue. Le dernier avait gardé le secret ou n’avait pas su que je travaillais pour Mirelda Goldheart, et cela devait en être de même pour celui-ci. Je toquai à la porte et attendit.
On était au beau milieu de la nuit et il faisait froid. J’avais fait une mauvaise rencontre, un type même pas alcoolisé qui marchait avec une jeune femme. Ils s’engueulèrent soudainement quand j’arrivai à leur hauteur,puis il la frappa, violemment, deux fois du poing puis du genou dans le ventre et je restai là, abasourdie. Il avait alors porté son attention sur moi et décidé que je serais sa prochaine victime, laissant l’autre femme s’enfuir. Il me pris par les bras et je le regardai, impassible. Ses intentions étaient claires aussi ne lui laissai-je pas le temps de me mettre sous la gorge le couteau qu’il avait sorti et l’envoya se cogner la tête de l’autre côté de la rue d’un coup de poing en plein visage. Sachant qu’il ne bougerai plus pendant un moment, je le pris par les cheveux pour dégager son cou et commença à boire tout mon saoul. Il ne ferait plus jamais de victimes.
M’éloignant d’un pas rapide je m’essuyai la bouche sur un mouchoir que je cachai ensuite dans la poche de mon pantalon. J’étais de mauvaise humeur. Je trouvai son échoppe dans une ruelle lugubre, tout à fait à mon goût. Je la savais ouverte à mon intention : j’avais « pris rendez-vous » avec lui via l’un de ses associés. Je réajustai ma capuche sur ma tête : Pas question d’être reconnue. Le dernier avait gardé le secret ou n’avait pas su que je travaillais pour Mirelda Goldheart, et cela devait en être de même pour celui-ci. Je toquai à la porte et attendit.