Monsieur de Morillon.
Madame la présidente et moi-même sommes attristés d’apprendre le décès de feu votre parent. Nous vous souhaitons à vous et vos proches toutes nos condoléances. Monsieur de Morillon est une personne que nous regretterons.
J’ai pour ma part eu le privilège de déguster votre vin. Ce qui me permet d’affirmer que celui-ci est tout à fait acceptable. Je ne peux donc suffisamment exprimer ma joie d’apprendre que le fils Morillon suive les pas de son défunt père. Ce serait donc avec honneur que de continuer à entretenir la commande passée avec votre père il y a vingt-trois ans.
Je vois, et comprends votre souhait d’augmenter votre carnet de relation. C’est pourquoi je vous propose de nous rencontrer sur votre exploitation dans les jours à venir. Nous pourrons discuter de ces affaires dans ce rendez-vous privé tout en visitant votre domaine.
Mon emploi du temps étant chargé, je ne peux vous donner la date exacte de ma visite. Un messager viendra annoncer ma venue le jour même.
Je peux tout de même éclaircir certains points dans cette lettre.
La taxe frontalière sur les produits de luxe ne sera pas levée pour votre cas. Celle-ci dépend des autorités responsables de la théocratie de Shoumeï et non de la République. De plus, vous n’êtes pas le seul vigneron sur ces terres. Je ne peux donc vous offrir quelques privilèges de la sorte.
Dans le cas de l’expédition de vos produits, vous pouvez obtenir une escorte armée en souscrivant à l’un de nos contrats d’abonnement annuel. Ce qui vous permettra de dormir sur vos deux oreilles sachant que vos bouteilles sont en sécurité.
Mais nous pourrons discuter de ce contrat dans les prochains jours.
Je regarde vers l’avant pour de futurs accords fructueux.
Je vous souhaite Monsieur mes salutations les meilleures.
PS : Vous n’aurez pas à sortir votre précieuse bouteille. Je ne bois pas en travaillant.
Signé : Mikael Goldheart, Vice-Président, concitoyen et serviteur de la République.
Madame la présidente et moi-même sommes attristés d’apprendre le décès de feu votre parent. Nous vous souhaitons à vous et vos proches toutes nos condoléances. Monsieur de Morillon est une personne que nous regretterons.
J’ai pour ma part eu le privilège de déguster votre vin. Ce qui me permet d’affirmer que celui-ci est tout à fait acceptable. Je ne peux donc suffisamment exprimer ma joie d’apprendre que le fils Morillon suive les pas de son défunt père. Ce serait donc avec honneur que de continuer à entretenir la commande passée avec votre père il y a vingt-trois ans.
Je vois, et comprends votre souhait d’augmenter votre carnet de relation. C’est pourquoi je vous propose de nous rencontrer sur votre exploitation dans les jours à venir. Nous pourrons discuter de ces affaires dans ce rendez-vous privé tout en visitant votre domaine.
Mon emploi du temps étant chargé, je ne peux vous donner la date exacte de ma visite. Un messager viendra annoncer ma venue le jour même.
Je peux tout de même éclaircir certains points dans cette lettre.
La taxe frontalière sur les produits de luxe ne sera pas levée pour votre cas. Celle-ci dépend des autorités responsables de la théocratie de Shoumeï et non de la République. De plus, vous n’êtes pas le seul vigneron sur ces terres. Je ne peux donc vous offrir quelques privilèges de la sorte.
Dans le cas de l’expédition de vos produits, vous pouvez obtenir une escorte armée en souscrivant à l’un de nos contrats d’abonnement annuel. Ce qui vous permettra de dormir sur vos deux oreilles sachant que vos bouteilles sont en sécurité.
Mais nous pourrons discuter de ce contrat dans les prochains jours.
Je regarde vers l’avant pour de futurs accords fructueux.
Je vous souhaite Monsieur mes salutations les meilleures.
PS : Vous n’aurez pas à sortir votre précieuse bouteille. Je ne bois pas en travaillant.
Signé : Mikael Goldheart, Vice-Président, concitoyen et serviteur de la République.