La symphonie des arts
The melody rocks the hearts
La vie d'un magistrat... Franchement, quel ennui ! Lui qui pensait que sa vie allait prendre un tout autre tournant, le militaire de carrière s'était bien trompé. Déjà qu'en ces temps de paix, le travail des forces publiques s'étaient peu à peu estomper, alors celui des militaires, n'en parlons même pas. Actuellement, il n'y avait que trop peu de moyens pour Kassem de se divertir, la tête dans la paperasse assisté de ses plus fidèles compagnons, le Lodbrok peinait à trouver confort dans ses nouvelles tâches. Plus le temps passait et plus il finissait par regretter amèrement sa décision prise lors de son élection, même si cette promotion lui avait ouverte certaines portes, il réfléchissait sérieusement à déjà libérer son siège. Lui, ce qui l'intéressait par-dessus tout était le terrain, les opérations et l'adrénaline du danger. Vraiment, être enfermé entre quatre murs n'était pas fait pour lui, loin de là.
Après avoir passé plus de trois heures à remplir une pyramide de dossier, il était enfin temps pour le chef d'orchestre de prendre une bonne bien mérité. Une journée ensoleillé comme celle-ci se devait de se passer au contact de la foule, à travers les rues de la capitale républicaine. Entre son adolescence passée dans la militarisation et son actuel job, Kassem n'était pas vraiment un habitué des bains de foule, au contraire. Vivant reclus en petit comité avec ses frères d'armes, il n'avait jamais vraiment connu la société en elle-même.
Ni une ni deux, Kassem attrapait son manteau fourrure de Cerberus qu'il portait fièrement et cela, peu importe la température ambiante. C'était là son trophée de guerre à lui. Aux alentours de midi, la cité grouillait de marchands des rues, profitant de l'agitement du peuple pour vendre divers objets et ainsi obtenir de quoi vivre. Ces marchands téméraires tapaient dans l'œil du magistrat qui chérissait particulièrement ce genre d'Homme, prêt à tout pour arriver à leur fin, dans les règles de l'art bien évidemment.
C'était bien pour cette cause-là qu'il achetait à tout va, une myriade de bijoux et autres accessoires presque inutiles pour son bien être, mais addict aux bling-bling, il faisait alors d'une pierre, deux coups; se faisant plaisir, tout en enrichissant son prochain. Quel Homme ! Parmi le brouhaha que causait la foule se distinguait un son aiguë et apaisant. Si entraînant, que Kassem se sentit obligé de suivre le son jusqu'à son auteur. Une énorme poignet de pièces d'or fut déposée à ses pieds, pas moins d'une soixantaine. Cigare aux lèvres, il ne bougerait pas, tant que la prestation n'était pas finie. Franchement, quelle douceur pouvait procurer la symphonie des arts.
Après avoir passé plus de trois heures à remplir une pyramide de dossier, il était enfin temps pour le chef d'orchestre de prendre une bonne bien mérité. Une journée ensoleillé comme celle-ci se devait de se passer au contact de la foule, à travers les rues de la capitale républicaine. Entre son adolescence passée dans la militarisation et son actuel job, Kassem n'était pas vraiment un habitué des bains de foule, au contraire. Vivant reclus en petit comité avec ses frères d'armes, il n'avait jamais vraiment connu la société en elle-même.
Ni une ni deux, Kassem attrapait son manteau fourrure de Cerberus qu'il portait fièrement et cela, peu importe la température ambiante. C'était là son trophée de guerre à lui. Aux alentours de midi, la cité grouillait de marchands des rues, profitant de l'agitement du peuple pour vendre divers objets et ainsi obtenir de quoi vivre. Ces marchands téméraires tapaient dans l'œil du magistrat qui chérissait particulièrement ce genre d'Homme, prêt à tout pour arriver à leur fin, dans les règles de l'art bien évidemment.
C'était bien pour cette cause-là qu'il achetait à tout va, une myriade de bijoux et autres accessoires presque inutiles pour son bien être, mais addict aux bling-bling, il faisait alors d'une pierre, deux coups; se faisant plaisir, tout en enrichissant son prochain. Quel Homme ! Parmi le brouhaha que causait la foule se distinguait un son aiguë et apaisant. Si entraînant, que Kassem se sentit obligé de suivre le son jusqu'à son auteur. Une énorme poignet de pièces d'or fut déposée à ses pieds, pas moins d'une soixantaine. Cigare aux lèvres, il ne bougerait pas, tant que la prestation n'était pas finie. Franchement, quelle douceur pouvait procurer la symphonie des arts.