Le soleil se profile à l'horizon, il n'est qu'une question de temps avant qu'il s'y cache pour laisser place à l'obscurité. Je contemple la vue sur un toit de la ville de Liberty, mon masque englobant l'entièreté de mon visage me gâche un peu la vue, mais je n'ai guère le choix en mission. Celle-ci est d'ailleurs d'un ennui mortel, je n'ai rien contre une journée de travail aisément rempli. Pourtant je suis réduit au second plan, couvrant ma partenaire habituelle dans sa collecte d'informations. Un informateur est prêt à vendre des ressources utiles à notre prochaine mission, sa réputation n'est pas très glorieuse et je n'aime pas trop l'idée de faire affaire avec ce genre de personnage. En parlant du loup, le voici-ci et contrairement à notre accord il est venue accompagné de deux personnes. Je soupire, voyant le désastre se mettre en place.
En bas, ma partenaire se relève d'une caisse lui servant de chaise provisoire. Nul besoin de voir au travers de son masque pour comprendre que nos invités surprises ne sont pas très bien perçu. "Je vous avez dit de venir seul." Dit-elle pointant du doigt les deux hommes derrière notre informateur. "Je sais, je sais. Mais les ruelles ne sont pas sûres dernièrement." Il lui répond avec un grand sourire, encerclant l'espionne avec ses compères. "Puis mon nouvel employeur me paye davantage que toi pour lui ramener ton petit cul pied et poing lié." Les armes se dégainent aussitôt, laissant peu de doute sur leur intention à ce moment-là. "Patron, voyez ce que nous avons là." D'une main mal placé, il pelote la fesse rebondi de ma partenaire qui reste stoïque malgré cette intrusion contre son gré. Il est vrai que l'armure de cuir épouse parfaitement ses formes, sa carrure à souvent était utile à ses diverses missions d'infiltration. Elle ne cesse de me dire qu'après l'avoir accomplie tout le savon du monde n'est pas suffisant pour faire partir cette odeur nauséabonde qui se dépose sur elle. "C'est vrai que tu n'es pas trop mal fichu, l'employeur n'a pas précisé dans quel état nous devions te rendre." Sa bande éclate de rire suite à ses paroles. Je me mets à rire doucement à mon tour, observant la scène depuis l'étage j'hésite à descendre pour leur venir en aide. Les pauvres malheureux ont sûrement dû recevoir un coup sur la tête à leur naissance pour ne pas comprendre quand quel merdier ils se sont mis.
Elle se retourne vers le profiteur pour lui saisir le poignet, glissant sa main jusqu'à son ventre et doucement remonter en direction de sa poitrine. "Si vous vouliez vous amusez il suffisait de le dire." J'ai déjà eu l'occasion de voir son visage, un sourire sadique parcourt souvent son faciès dans ce genre de situation. Ses méthodes sont brutales pour qu'on se souvienne des limites à ne jamais franchir en sa présence, mais aujourd'hui je fus témoin d'un spectacle qui ne laisse rien présagé de bon pour notre mission. "Arggh" L'homme gémit de douleur, son regard concentré sur sa main se rapprochant du plaisir et de la chair se détourne à présent sur son abdomen, une lame planter entre les côtes. "On s'amuse vous voyez, maintenant hurle pour moi petit porcinet." Sa lame fait une rotation avant de s'enfoncer plus profondément. Après un cri d'agonie qu'elle étouffe de sa main pour ne pas rameuter toute la ville en ce lieu, le corps sans vie de sa proie s'écroule au sol. "Et merde." La situation vient de basculer, nous utilisons le meurtre en dernier recours et la voilà en train d'exécuter des personnes pouvant encore nous fournir des informations précieuses. Malheureusement l'heure n'est plus à la discussion, ses amis ont déjà armé leur bras pour fendre la femme en deux. Je me laisse glisser du toit, m'accrochant d'une main pour amortir la chute. Mon pied à plat sur le mur, je saute en direction de l'un d'eux, dégainant ma dague pour en neutraliser un sans le tuer. Une chose que ma partenaire ne semble pas se préoccuper quand je la vois égorgée le troisième individu.
"Qu'est que tu fou bordel ?!" Dis-je furieux me rapprochant d'elle en l'attrapant par le col de sa veste en cuir. "J'ai tué les petits porcinets superflue, notre source d'information est encore vivante non ?" Son ton est enjoué, comme si ce n'est qu'un jeu pour elle. "Ce ne sont pas nos méthodes et tu le sais." Je soupire, n'espérant pas la convaincre de son erreur. Je marche sur la cheville du dernier survivant qui rampe au sol pour tenter de s'enfuir. "Pas si vite, tu vas répondre à quelques questions."
D'un seul bruit dans notre dos suffit à reporter notre attention vers celle-ci. Mon esprit confus de reconnaître un visage familier me fit dire son nom à voix haute. "Sylas ?" Dis-je d'une voix surprise de le voir dans cette ruelle. Ma partenaire n'a pas attendu bien longtemps avant de réagir, ne voyant qu'un témoin gênant elle se rue sur lui l'arme à la main. Je lui saisis le bras avant qu'elle ne puisse l'atteindre, la tirant en arrière pour l'éloigner de lui. Elle reste surprise de mon geste, essayant une nouvelle fois de forcer le passage. Étants lassé de sa précipitation je ne ménage plus mes mouvements pour l'immobiliser, j'attrape ses deux poignets pour la privée d'une certaine liberté. L'espionne qui ne manque pas de ressource utilise ses jambes pour me faire une ceinture au niveau de mes hanches, bloquant partiellement ma respiration. Je la plaque contre le mur et son masque tombe laissant apparaître son visage aux yeux de tous. "Qu'est que tu fais, laisse moi le tuer, il a vu mon visage maintenant !" Son ton enjoué à disparu, la perte de son identité l'a rendu encore plus furieuse que la main baladeuse de tout à l'heure. "Je le connais, calme toi..." Je retire mon masque à mon tour, je me surprend moi-même à faire cela et je peux lire une détresse dans les yeux de ma partenaire qui ne comprend pas mon choix de relevé mon faciès à notre invité imprévu.
En bas, ma partenaire se relève d'une caisse lui servant de chaise provisoire. Nul besoin de voir au travers de son masque pour comprendre que nos invités surprises ne sont pas très bien perçu. "Je vous avez dit de venir seul." Dit-elle pointant du doigt les deux hommes derrière notre informateur. "Je sais, je sais. Mais les ruelles ne sont pas sûres dernièrement." Il lui répond avec un grand sourire, encerclant l'espionne avec ses compères. "Puis mon nouvel employeur me paye davantage que toi pour lui ramener ton petit cul pied et poing lié." Les armes se dégainent aussitôt, laissant peu de doute sur leur intention à ce moment-là. "Patron, voyez ce que nous avons là." D'une main mal placé, il pelote la fesse rebondi de ma partenaire qui reste stoïque malgré cette intrusion contre son gré. Il est vrai que l'armure de cuir épouse parfaitement ses formes, sa carrure à souvent était utile à ses diverses missions d'infiltration. Elle ne cesse de me dire qu'après l'avoir accomplie tout le savon du monde n'est pas suffisant pour faire partir cette odeur nauséabonde qui se dépose sur elle. "C'est vrai que tu n'es pas trop mal fichu, l'employeur n'a pas précisé dans quel état nous devions te rendre." Sa bande éclate de rire suite à ses paroles. Je me mets à rire doucement à mon tour, observant la scène depuis l'étage j'hésite à descendre pour leur venir en aide. Les pauvres malheureux ont sûrement dû recevoir un coup sur la tête à leur naissance pour ne pas comprendre quand quel merdier ils se sont mis.
Elle se retourne vers le profiteur pour lui saisir le poignet, glissant sa main jusqu'à son ventre et doucement remonter en direction de sa poitrine. "Si vous vouliez vous amusez il suffisait de le dire." J'ai déjà eu l'occasion de voir son visage, un sourire sadique parcourt souvent son faciès dans ce genre de situation. Ses méthodes sont brutales pour qu'on se souvienne des limites à ne jamais franchir en sa présence, mais aujourd'hui je fus témoin d'un spectacle qui ne laisse rien présagé de bon pour notre mission. "Arggh" L'homme gémit de douleur, son regard concentré sur sa main se rapprochant du plaisir et de la chair se détourne à présent sur son abdomen, une lame planter entre les côtes. "On s'amuse vous voyez, maintenant hurle pour moi petit porcinet." Sa lame fait une rotation avant de s'enfoncer plus profondément. Après un cri d'agonie qu'elle étouffe de sa main pour ne pas rameuter toute la ville en ce lieu, le corps sans vie de sa proie s'écroule au sol. "Et merde." La situation vient de basculer, nous utilisons le meurtre en dernier recours et la voilà en train d'exécuter des personnes pouvant encore nous fournir des informations précieuses. Malheureusement l'heure n'est plus à la discussion, ses amis ont déjà armé leur bras pour fendre la femme en deux. Je me laisse glisser du toit, m'accrochant d'une main pour amortir la chute. Mon pied à plat sur le mur, je saute en direction de l'un d'eux, dégainant ma dague pour en neutraliser un sans le tuer. Une chose que ma partenaire ne semble pas se préoccuper quand je la vois égorgée le troisième individu.
"Qu'est que tu fou bordel ?!" Dis-je furieux me rapprochant d'elle en l'attrapant par le col de sa veste en cuir. "J'ai tué les petits porcinets superflue, notre source d'information est encore vivante non ?" Son ton est enjoué, comme si ce n'est qu'un jeu pour elle. "Ce ne sont pas nos méthodes et tu le sais." Je soupire, n'espérant pas la convaincre de son erreur. Je marche sur la cheville du dernier survivant qui rampe au sol pour tenter de s'enfuir. "Pas si vite, tu vas répondre à quelques questions."
D'un seul bruit dans notre dos suffit à reporter notre attention vers celle-ci. Mon esprit confus de reconnaître un visage familier me fit dire son nom à voix haute. "Sylas ?" Dis-je d'une voix surprise de le voir dans cette ruelle. Ma partenaire n'a pas attendu bien longtemps avant de réagir, ne voyant qu'un témoin gênant elle se rue sur lui l'arme à la main. Je lui saisis le bras avant qu'elle ne puisse l'atteindre, la tirant en arrière pour l'éloigner de lui. Elle reste surprise de mon geste, essayant une nouvelle fois de forcer le passage. Étants lassé de sa précipitation je ne ménage plus mes mouvements pour l'immobiliser, j'attrape ses deux poignets pour la privée d'une certaine liberté. L'espionne qui ne manque pas de ressource utilise ses jambes pour me faire une ceinture au niveau de mes hanches, bloquant partiellement ma respiration. Je la plaque contre le mur et son masque tombe laissant apparaître son visage aux yeux de tous. "Qu'est que tu fais, laisse moi le tuer, il a vu mon visage maintenant !" Son ton enjoué à disparu, la perte de son identité l'a rendu encore plus furieuse que la main baladeuse de tout à l'heure. "Je le connais, calme toi..." Je retire mon masque à mon tour, je me surprend moi-même à faire cela et je peux lire une détresse dans les yeux de ma partenaire qui ne comprend pas mon choix de relevé mon faciès à notre invité imprévu.
- La tête de la partenaire de Shawn :