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Shawn Kanaan
Une langue bien pendue. [Marceline Cornebouc] / -18, torture. Tijw
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Shawn Kanaan
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Cellule du papillon, image + lien.:

Une mission particulière m'est assigné, une femme semble avoir énoncé une information sensible, ce qui nous intéresse est la source, ses contacts pouvant aider à remonter vers l'origine de cette fuite malencontreuse, du moins c'est ce que ma supérieure souhaite, pour ma part, je n'ai aucune réelle intention d'accomplir la tâche aussi fidèlement qu'elle le pense. Tout dépendra de la suite des évènements, mais je n'ai aucune crainte de voir cette mission échouée, d'autant plus qu'Arwen ne semble pas être de la partie, encore en mission d'une autre affaire. Un travail en solitaire, ou presque, Iria eu la jugeote de me mettre sur le dos un membre de la cellule, Fei Sakata, une femme charmante, mais très difficile d'approche. En de rares occasions, nous avions eu le temps de faire la conversation pour transmettre des rapports à la cellule, nous allions toujours droit au but, sans divaguer en parlant beau temps ou humeur du moment. À choisir j'aurais préféré avoir Jarlan ou Charlyn, mais le talent de la jeune femme dans la télépathie me sera d'un grand secours, à n'en pas douter à la vue de l'utilisation constante lors de mes binômes avec Arwen.

Le temps étant loin d'être une préoccupation, nous prenions le loisir d'observer notre cible, attendant patiemment qu'elle quitte son chariot pour rejoindre la ville dans la matinée, en quête d'une taverne, ou d'achat pour son petit commerce, d'un signe de tête avec ma collègue, elle décide de la prendre en filature, me laissant seul avec ce qui doit servir de maison amovible à l'elfe. Je m'en approche, cherchant une ouverture pour pénétrer dedans, les fenêtres légèrement entrouvertes sont souvent laissées en pensant qu'aucune personne ne puisse s'introduire dans un passage aussi étroit, néanmoins la métamorphose est bien pratique dans ce genre de moment. Finalement, je croche la serrure, exercice qui remonte un peu, mais je parviens à mes fins, ouvrant la porte qui laisse subir son léger grincement du poids que supportent les gonds.

Une fois à l'intérieur, je commence à fouiller sans distinctement, ne laissant aucune intention de remettre en place le moindre tiroir, jetant leur contenu à même le sol quand je n'y trouve aucun intérêt particulier. Parfois, je m'étonne de certaines découvertes, plaçant ceci dans mes poches, la qualité des produits ne semble pas être médiocre, autant se servir, les temps sont très rudes, le budget encore plus depuis que la guerre est ravagé notre terre, elle ne m'en voudra pas pour si peu, cela sera loin d'être son premier mécontentement à non point douter.

Il n'y avait rien de folichon à ma mission, quelques documents de recette alchimique, des brouillons de schémas de plante, des outils divers et des fioles vides dont je résiste à faire volontairement tomber du bureau, le chariot est assez loin des habitations, personne ne pourra m'entendre, mais ne joue pas pendant le service, du moins pas encore.

Dans l'attente de son retour, je profite du fauteuil mit à disposition, observant la porte que je pris la peine de refermer, ne lui laissant aucune idée qu'un intrus est saccager sa boutique, son lieu de vie, son intimité, d'apparence anodine, une effraction laisse un sentiment de mal-être, les murs qui nous entourent ne semble plus être fiable, on doute du moindre de bruit que le craquement du bois provoque, du vent qui s'infiltre dans la moindre faille, tout devient à prétexte pour devenir anxieux. Je me cache dans l'obscurité, attendant ma proie, revêtu de mon armure de cuir, d'une cape qui la recouvre, ainsi d'un masque en fer, choisi tout particulièrement pour l'occasion.

Masque de Shawn:

Une annonce télépathique de Fei me prévient qu'elle s'apprête à faire une interruption, je lui réponds d'avoir reçu l'information, lui affirmant de saisir l'occasion de la neutraliser si l'idée lui venait de prendre la fuite à ma vue. Le loquet de la porte fit un tour, je renforce mon corps par ma magie, sans aucune retenu, prêt à recevoir un assaut fulgurant, la panique est propre à chacun, certain fuis sans hésitation, d'autre devienne agressive, prudence est mère de sûreté.

La lumière du soleil s'engouffre timidement dans la pièce à l'ouverture de la porte à cause de l'ombre d'une maison avoisinant le chariot, quand je perçus son regard se déformer à la découverte du bazar environnant, j'allume une bougie, apparaissant dans la pièce, toujours assis sur le fauteuil qui lui appartient. "Bonjour très chère Cornebouc, vos récentes actions ont conduit à notre rencontre, savez-vous laquelle ?" Dis-je, d'un ton très calme, insistant d'énoncer son nom, preuve de n'avoir commis aucune erreur dans cette visite nocturne. Je lève la main dans sa direction, l'invitant à venir prendre place, la porte derrière elle se referme dans un fracas du diable au même moment. Ma question n'attend pas spécialement de réponse, mais j'apprécie toujours voir le visage d'une personne hésitant sur ses nombreux méfaits, parfois leur réaction son assez drôle, d'autre moins, mais cela m'aide à cerner son attitude face à l'imprévu.

Information HRP:
Marceline Cornebouc
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Marceline Cornebouc
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J’avais passé une mauvaise matinée. D’abord, j’avais reçu Mélimée Khôl qui s’était sauvée comme une voleuse dès qu’elle avait eu mes informations. Elle m’avait payée mais tout de même, c’était très suspect, et je craignais pour ma sécurité et celle de mes amies. Ensuite, j’étais allée rapidement voir le Luteni Askir, après avoir vérifié l’attache antivol alchimique de mes chevaux, pour qu’il me confirme qui était Mélimée Khôl, ce qu’il avait fait. Heureusement je n’avais pas fait de bourde à ce niveau là. J’étais revenue à ma Roulotte et Mirari Shax m’y avait menacée à propos des infos que Rengoku m’avait données. Ne me sentant vraiment pas bien, j’avais résolu de travailler sur une potion pour Rachelle, et j’avais été acheter des ingrédients auprès d’une herboriste. J’étais ensuite revenue et heureusement ni ma roulotte ni mes chevaux n’avaient bougé pendant tout ce temps. Je fis un gros câlin à ses derniers et je m’engouffrai dans ma demeure avec l’intention de rentrer à la demeure familiale pour voir ma tante Bonibelle et obtenir du réconfort auprès d'elle.
Mais je trouvais ma maison dans un désordre total : j’avais été cambriolée. Je fis deux pas en regardant dans l’obscurité mes affaires éparpillées sur le sol et je sursautai quand quelqu’un usa d’un briquet pour allumer une bougie. La lumière de celle-ci révéla un homme au masque effrayant, assis dans mon fauteuil.

– Bonsoir très chère Cornebouc, vos récentes actions ont conduit à notre rencontre, savez-vous laquelle ?

Je me mis à trembler légèrement. J’avais en effet une petite idée de pourquoi il était là. Je tentai de me rassurer en me disant qu’il était uniquement là pour m’interroger, mais la porte derrière moi se referma violemment, me faisant sursauter une nouvelle fois. J’étais désormais enfermée avec lui, et son masque signifiait qu’il n’allait pas être tendre avec moi. Cette nouvelle pensée me fit trembler de plus belle.
Je pris place sur un tabouret comme il me l’avait indiqué et je restais silencieuse, attendant la suite des évènements avec appréhension.
Shawn Kanaan
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Shawn Kanaan
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La nouvelle venue tremble à ma simple vue, preuve de sa culpabilité ou d'une âme peu valeureuse, elle a conscience de la situation, me simplifiant la tâche de ne pas lui faire une démonstration de ce qu'il pourrait lui arriver en cas d'une résistance inopiné. La porte venant se claquer dans son dos rajoutant à l'ambiance pesante que je cherche à mettre en place fit son effet, habile tour de passe-passe usant de ma télékinésie, dehors Fei l'a perçu comme mon signal, venant se mettre derrière pour la contraindre à rester fermer, écoutant à travers la porte.

Son sursaut me fit sourire, dissimuler sous le masque que je porte, la voyant prendre place à son tour, tremblant encore plus qu'à son arrivée. "Vous n'avez pas à avoir peur, nous sommes entre personnes civilisées n'est-ce pas ?" Dis-je, me levant de mon fauteuil, venant faire quelque foulé pour rejoindre la femme assise, me glissant dans son dos alors que ma main se dépose sur son épaule sans aucune forme d'hostilité. "Malheureusement ma dernière entrevue était avec un malandrin peu bavard et mythomane par la même occasion, de ce fait, j'ai dû lui faire des choses peu agréables, de lui faire comprendre qu'il y a pire sensation que celle de mourir, mais ce n'est pas votre cas je l'espère." Ma deuxième main vient se mettre sur l'autre épauler de la Cornebouc, étant maintenant derrière elle, cacher dans son angle mort infusant de ma magie pour altérer les émotions par le bout de mes doigts, cherchant à stimuler son angoisse, sa peur et toute ressentiment pouvant lui faire comprendre qu'il serait judicieux de ne pas me contrarier.

"Un beau chariot que vous avez là, je me verrais bien dans une autre vie vivre dans un endroit tel que celui-ci, héritage familial ou le commerce tourne si bien pour vous ?" Dis-je, cherchant à retarder volontairement la fameuse question inévitable pour rallonger le supplice, d'une conversation anodine dans une telle situation, ne pouvant permettre d'y voir la fin, jouant sur la nervosité pendant que la magie semble faire effet.

Puis sans prévenir, ma main venue prendre prise sur sa corne gauche, tirant vers l'arrière pour lui faire relever la tête pour regarder vers le plafond sans pour autant être brusque, mon visage surplombe le sien, la pénombre de la pièce ne lui permet pas de distinguer la couleur de mes yeux, uniquement du blanc qui l'entoure, avant de venir lui poser l'unique question de ma venue. "Sunshine..." Je scrute sa réaction, avant de poursuivre, intimement convaincu qu'elle sache de quoi je fais référence en vue des informations qu'Iria m'a transmit. "Qui vous en a parlé ?" Mon ton fut plus sévère, indice que la plaisanterie avait suffisamment duré, une réponse par le silence n'était pas possible, elle en connaissait les conséquences et je doute que cela risque de lui plaire.

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Marceline Cornebouc
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Marceline Cornebouc
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Dehors, les planches de mes escaliers en bois craquèrent peu après que la porte ne se soit fermée, signe que quelqu’un s’était positionné derrière celle-ci, me coupant toute retraite.

– Vous n'avez pas à avoir peur, nous sommes entre personnes civilisées n'est-ce pas ?

Dit-il en se levant pour venir se glisser dans mon dos comme un serpent. Je n’osais plus bouger. Sa main se posa sur mon épaule.

– Malheureusement ma dernière entrevue était avec un malandrin peu bavard et mythomane par la même occasion, de ce fait, j'ai dû lui faire des choses peu agréables, de lui faire comprendre qu'il y a pire sensation que celle de mourir, mais ce n'est pas votre cas je l'espère.

Et voilà qu’il me menaçait de torture. Comme je l’avais dit ce matin, j’étais dans la merde. Ma deuxième épaule reçut sa deuxième main sans que je puisse m’y opposer, et soudainement ma peur et mon angoisse accrurent, formant une boule douloureuse dans mon ventre.
Il menaçait ensuite de me prendre ma roulotte, ou de la saccager, je ne savais pas trop. Je n’étais pas en état de réellement comprendre toutes les subtilités de ce qu’il me disait.
Puis il tira en arrière ma tête par la corne gauche et me força ainsi à le regarder dans le noir des trous de son masque.

– Sunshine…

Je l’avais deviné, il était là parce que j’avais fait comprendre à Mélimée que j’étais en possession d’une information confidentielle. Comme une idiote.

– Qui vous en a parlé ?

Il m’avait parlé d’un ton sévère, il voulait sa réponse maintenant. Et moi je tremblais de tout mon corps, jusqu’à ma voix.

– Je ne, je ne peux pas me permettre de, d’avoir la réputation de vendre mes informateurs.

J’avais pris mon courage à deux mains, et j’avais résisté. Il était membre du gouvernement, et je n’avais rien fait de mal. Je pensais donc qu’il bluffait quand il m’avait menacée de torture. J’espérais qu’il bluffait. Une larme roula sur ma joue.

– S’il vous plaît.

Ajoutai-je dans un murmure.
Shawn Kanaan
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L'elfe semble avoir une réticence à vouloir parler, sous prétexte que sa réputation risquerait d'en pâlir. Je ne pense pas qu'elle est véritablement saisie dans quelle posture elle était, que le choix ne lui incombe pas. "Cornebouc, Cornebouc. Une réputation ?" Ma main sur sa corne la secoue légèrement de gauche à droite, alors que mon autre main vient se déposer à la base de son cou, glissant un doigt sur sa peau pour remonter jusqu'à son menton avant de la saisir ferment pour la maintenir en place. Une lame dissimulée flotte au-dessus de son visage par l'usage de ma télékinésie, venant se mettre à quelques centimètres de son œil, prêt à lui perforer l'orbite. "Se soucier de sa réputation dans un tel moment, votre naïveté est presque touchante." Je me mis à rire de façon spontanée, avant de reprendre la parole avec un ton amusé, laissant croire que je plaisante ouvertement.  

"Alors si le regard des autres semble autant vous perturber, je devrai peut-être vous arracher littéralement la vue ? Non enfaite, ne nous arrêtons pas en si bon chemin dans notre raisonnement, vous risquez d'entendre encore des choses pouvant vous attirez des ennuis, je pourrais vous rendre sourde pour vous éviter cela. Attendez, et si je vous arrachez plutôt la langue ? Vous n'aurez plus aucune chance de dire quelque chose de fâcheux." Je m'amuse à lui faire la liste des possibilités pour rendre sa vie meilleure, puis mon ton enjoué disparaît soudainement pour revenir à ce lugubre brin de voix. "Non, encore mieux, les trois en même temps, vivre sans rien ressentir autour de soi, ni pouvoir s'exprimer, je me demande en combien de temps vous allez perdre la raison dans ces conditions. Aucune magie ne pourra vous sauver de cette éternelle noirceur dans laquelle je vais vous plonger. Vous n'aurez que l'idée d'en finir, mais je m'assurais de vous maintenir en vie, pour que ce calvaire ne soit pas si court que vous l'espérez." Dis-je, lui assurant qu'importe ses efforts, du soutien qu'elle pourra avoir à l'avenir, rien ne pourra venir lui apporter du réconfort, elle vivra encore de longues années par sa condition d'elfe.

Le bout de la lame se rapproche doucement, mes mains tienne l'elfe fermement, l'inévitable semble ce profilé à l'horizon, je l'oblige à me faire face, qu'elle puisse contempler mon masque et la pointe de la lame, un vulgaire couteau de lancé sans manche, mais largement suffisamment pour venir s'implanter dans son lobe, la douleur sera atroce, sa voix va porter au-delà de l'imaginable, je n'ai aucune intention de lui couvrir la bouche, lui laissant l'indice d'avoir encore la jugeote de répondre à ma question, la dernière et unique chance de ne plus me sortir une excuse aussi ridicule, à quoi bon une réputation pour une infirme.
Marceline Cornebouc
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Marceline Cornebouc
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– Cornebouc, Cornebouc. Une réputation ?

Il secoua ma tête légèrement de gauche à droite pendant que son autre main glissa sur mon cou pour venir m’agripper le menton. Il fit flotter une lame qui vint s’arrêter à quelques centimètres de mon œil.

– Se soucier de sa réputation dans un tel moment, votre naïveté est presque touchante.

Et il rit. Un rire machiavélique qui me glaça le sang. Et puis, comme pour plaisanter, il parla de m’arracher la vue, l’ouïe, la parole. J’avais l’intime conviction qu’il ne plaisantait pas, mais comment pouvait-il en être ainsi ? De quel droit agissait-il de la sorte ?
Son ton lugubre revint.

– Non, encore mieux, les trois en même temps, vivre sans rien ressentir autour de soi, ni pouvoir s'exprimer, je me demande en combien de temps vous allez perdre la raison dans ces conditions. Aucune magie ne pourra vous sauver de cette éternelle noirceur dans laquelle je vais vous plonger. Vous n'aurez que l'idée d'en finir, mais je m'assurais de vous maintenir en vie, pour que ce calvaire ne soit pas si court que vous l'espérez.

Mes tremblements devinrent incontrôlables tandis que mes larmes coulaient sur mes joues et que mon sanglot devint audible. Il ne plaisantait pas, et il avait le pouvoir de faire tout ce qu’il avait dit.
Alors que la lame s’approchait de mon œil, je hurlais :

– J’vais tout vous dire ! Arrêtez !

La lame s’arrêta à un centimètre de mon œil. Je pris le temps de respirer de manière saccadée.

– Il s’appelle Robert, il est garde de faction au palais. Il m’a vendu l’information comme quoi Sunshine avait volé de l’argent dans les caisses du palais.

J’avais tout dit. Mon calvaire était fini. Il allait se retirer, dans mon dos, et je ne regarderais pas. J’irai conduire ma roulotte jusque dans la demeure familiale et j’allais passer le reste de la journée auprès des miens, en particulier aux côtés de ma tante Bonibelle. Ensuite, je n’entendrait plus jamais parler de cette histoire.
Le Reike. Je savais que la justice dans notre pays était un peu arbitraire, et la trahison était passible de mort, mais je n’aurais jamais cru être victime d’une telle situation. Peut-être après tout qu’il avait bluffé. Comment se pouvait-il que notre si beau pays tolère la torture pour interroger une pauvre marchande qui n’avait rien fait de mal ?
Shawn Kanaan
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L'elfe fond en larmes sous ma nouvelle approche de lui soutirer les informations de manière moins cordiale. Le silence règne, indécis de saisir cette information avec véracité bien qu'elle est finie par craquer psychologiquement à quelques centimètres de perdre l'un de ses yeux. Ma main toujours sur sa corne et l'autre sur sa mâchoire, je viens tapoter sa joue à plusieurs reprises avec douceur avec la seconde avant de prendre la parole. "Eh bah voilà, ce n'était pas si difficile." Je l'induis à pencher la tête en avant pour reprendre une position plus naturelle, caressant sa chevelure tel que je le ferais sur un petit animal terrifié. "On se sent mieux maintenant qu'on a vidé son sac n'est-ce pas ?" Mon ton sonne bienveillant, comme si après cette phrase je m'apprête à disparaître de sa vie, de ne plus jamais revenir et que le grand finale de cette histoire lui permet de tiré une leçon importante, de savoir tenir sa langue...

Mon bras vient s'enrouler autour de son cou, resserrant subitement pour l'étrangler, coupant toute possibilité de respirer, la moindre tentative de s'en libérer viendra se heurter à mon renforcement physique que je maintiens toujours, pouvant sentir une perle de sueur sur le flanc de mon franc de l'effort prolonger de le maintenir. "Je suis désolé." Dis-je, continuant pendant de longue minute à la maintenir, à la faire suffoquer, la tirant vers l'arrière pour la faire sortir du siège dont elle était assise pour la mettre debout, la laissant sur la pointe des pieds du à notre différence de taille, la gravité faisait son oeuvre tel une potence, encrant dans son esprit qu'elle vivait ses derniers instants en ce monde, toujours dans ce silence morbide en l'absence de ses cris ne pouvant être expulsé de sa bouche, m'assurant qu'elle fini par perdre connaissance.

Fei finis par entrée à son tour quand je pris le temps de l'invité par un message télépathique, me voyant encore dans cette position à la maintenir quelques secondes supplémentaire pour être certain qu'elle ne feint pas d'avoir perdu connaissance, ma camarade prit la parole. "Elle est morte ?" Dit-elle pointant du doigt la Cornebouc. "Non, j'ai eu les informations que je voulais d'elle, mais j'aimerais vérifier si cela s'avère être une vérité ou un piètre mensonge inventé dans la précipitation." Je relâche mon emprise, Marceline penche vers l'avant, prête à s'écrouler à même le sol, mais Fei la récupérer dans ses bras sans aucune difficulté. "On l'emmène, appel Garod, je vais avoir besoin de ses talents particuliers." Ainsi nous prenons la Cornebouc avec nous, avant de disparaître du chariot sans laissé aucune trace.

---

Un seau d'eau glacé s'abat sur Marceline, à son réveil, elle est assise sur une chaise en métal, attacher solidement à niveau des poignets, des chevilles, de la taille et à la base du cou par une corde épaisse. Ce dernier est noué de façon que plus elle se débat, plus le nœud se resserre, mais jamais assez pour qu'elle ne puisse plus respirer, lui laissant le supplice d'être consciente jusqu'au bout. Un bâillon de tissu l'empêche de crier ou même de parler. Dans la pièce, une chaise vide lui fait face, un brasero illumine la pièce timidement, ne pouvant pas saisir la profondeur la pièce au point que les murs ne soient pas visibles, ne pouvant que voir à même le sol des taches de sang séché en grande quantité uniquement autour de sa chaise. De la pénombre sortent deux personnes, Shawn, muni toujours du même masque, mais accompagné d'un homme mesurant plus de deux mètres, le torse-nu, rempli de cicatrice, munie d'un pantalon en lin d'apparence très usé, un capuchon couvrant son visage, dans le silence le plus total il vient se placer derrière Marceline, laissant Shawn prendre la place vide devant elle.

Assis sur la chaise, je contemple l'elfe sans dire un mot, venant lui retirer le bâillon délicatement, j'attends une réaction, ses questions, son désespoir de savoir que ce cauchemar semble être encore d'actualité. Garod est un homme à la carrure impressionnante, pourtant ses talents s'avère d'être de briser quelqu'un par l'usage de magie psychique, beaucoup se trompe à tord de ses capacités, ce qui lui permet de s'infiltrer dans ses proies plus facilement. Depuis notre dernière entrevue avec la Cornebouc, moins d'une heure s'était écouler, pourtant, pour elle le temps s'écoule différemment, sous l'influence d'une magie, son corps semble affamer, assoiffé, comme si cela fait plusieurs semaine qu'elle est ligoté à cette chaise.
Marceline Cornebouc
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Il me tapota la joue avec douceur.

– Eh bah voilà, ce n'était pas si difficile.

Il m’induisit à reprendre une position normale avec ma tête, ce que je fis volontiers, pleurant toujours ; peut-être plus. Il me caressait la chevelure.

– On se sent mieux maintenant qu'on a vidé son sac n'est-ce pas ?

Je me sentais mieux maintenant qu’il allait disparaître de ma vie complètement et jamais ne revenir. Je me retins de tomber en sanglots, il serait temps de le faire après qu’il soit partit.
Il m’agrippa le cou pour m’étrangler. Surprise j’attrapais d’abord son bras, puis ses cheveux. Je tentai désespérément de prendre une bouffée d’air. Je créai des étoiles de glace pour les lui jeter dans les yeux.

– Je suis désolé, dit-il.

Je gesticulais de tous mes membres. Je tentai même de lui arracher les yeux, autant avec mes doigts que ma télékinésie. Rien n’y fit. Ma gorge douloureuse, je me sentais partir. J’allais mourir. J’étais morte.

~~~~~~~~~~~

J’avais froid. Mal à la tête. J’étais mouillée. Je relevais doucement la tête. J’étais en position assise, les mains attachées à ma chaise de métal. Les pieds, la taille et le cou attachés aussi. Avec un bâillon dans la bouche. Mon coeur accéléra. Que faisais-je ici ? J’ouvris les yeux et un brasero m’éblouit, accentuant mon mal de tête ; je refermai les yeux aussitôt, attendant quelques secondes avant de les rouvrir, très peu d’abord puis de plus en plus.
Il y avait deux hommes avec moi. L’homme au masque que je reconnus de suite… Lui ! Qu’est-ce que je faisais là ? J’avais avoué ! Il avait tenté de me tuer ? Apparemment non, juste me faire m’évanouir pour m’emmener ici.
Le très grand homme à côté de lui, cagoulé et au corps couvert de cicatrices vint se placer derrière moi. Soudainement j’avais très peur. Avais-je cessé d’avoir peur depuis la visite de l’homme masqué ? Celui-ci s’assit sur la chaise devant moi. Le calvaire n’était pas fini.
La corde était trop épaisse, et je ferais du bruit si j’essayais de la couper. Et puis de qui me moquais-je ? Je ne pouvais espérer gagner un combat contre ces deux hommes. Je regardai l’homme en face de moi avec une grimace d’inquiétude sur le visage.

– J’ai tout avoué… murmurai-je.
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Shawn Kanaan
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L'elfe s'éveille, de retour parmi les "vivants", ainsi je guette sa réaction à la pièce qui nous entoure, cela me fascine toujours autant quand je l'entend me dire d'avoir pourtant tout révélé, d'avoir offert de ce que je désirais, mais la parole d'une personne vacille aussi facilement que celle d'un menestrel sur ses soit disant aventure. Son visage grimace, puis je tapote du bout de mes doigts mes genoux, comme dans l'impatience de poursuivre la où nous avions interrompue dans son chariot. "Une information que j'ai pris en compte Cornebouc, néanmoins ai-je vraiment l'air d'un idiot à ce point ? Rappelez-vous, j'ai en horreur les personnes qui me mente ouvertement." Dis-je, l'accusant dans le brin de ma voix d'avoir usurper une fausse information pour m'induire en erreur. A vrai dire, je n'ai aucune idée de la véracité de ses propos, la raison de notre venue est d'en assurer la teneur. Ainsi, lui faire comprendre que sa réponse m'a déplu pourrait la rendre plus bavarde ou se complaindre indéfiniment dans la première version, cependant l'approche cette fois-ci sera très différente.

Je me lève de ma chaise, dégainant ma dague, passant le doigt sur le coter tranchant, dans un silence qu'elle ne connait trop bien. Je n'ai guère besoin d'utiliser mon renforcement de constitution, sa magie fut pompé jusqu'à la dernière goût par mon cher ami, d'où l'impression de soif et de faim venant lui chatouiller l'esprit, elle est vulnérable, ne pouvant que subir au gré de ses cordes vocales, du moins jusqu'à que je lui retire cet unique privilège.

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Marceline Cornebouc
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– Une information que j'ai pris en compte Cornebouc, néanmoins ai-je vraiment l'air d'un idiot à ce point ? Rappelez-vous, j'ai en horreur les personnes qui me mente ouvertement.

J’avais froid, j’avais soif, j’avais faim, et je me sentais vide. Tout cela n’était rien face à ce qui m’attendais. J’avais en effet menti, mais je savais que je subirais pire si je disais la vérité. Mirari me l’avait bien fait comprendre, ce matin même.

– Non ! Non, non, non ! J’ai dit la vérité, vous devez me croire !

Mon interrogateur se lève de sa chaise, dégainant sa dague pour jouer avec. En silence.

– Vous devez avoir froid avec ses vêtements trempé, que diriez-vous de vous réchauffer auprès du feu ?

L’autre me poussa près du brasero et je pus en sentir la chaleur sur mon visage. Il en sort un pique en fer rougi, et soudain je compris ce qu’il allait me faire subir. Alors qu’il approchait le fer de mes jambes, me forçant à les écarter, je criais :

– Non ! Non ! J’ai dit la vérité, j’ai dit la vérité !

– Est-ce vraiment Robert qu'à délivré cette information ?

Il approcha le tisonnier de mon ventre.

Warning: torture:
Shawn Kanaan
Une langue bien pendue. [Marceline Cornebouc] / -18, torture. Tijw
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Fiche du personnage
Race: Humain
Vocation: Guerrier
Alignement: Chaotique bon
Rang: C
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Shawn Kanaan
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Torture:
Marceline Cornebouc
Une langue bien pendue. [Marceline Cornebouc] / -18, torture. 9906sQp
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Fiche du personnage
Race: elfe
Vocation: mage
Alignement: neutre bon
Rang: C
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Marceline Cornebouc
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warning torture:

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Je me réveillai en hurlant. J’étais dans mon lit, dans ma roulotte, en sous-vêtements. Une bougie éteinte était renversée sur le côté droit de mon ventre et la cire avait coulé dessus. Je me recroquevillait en position foetale, pleurant toutes les larmes qu’il me restait, et il m’en restait beaucoup. Je sanglotais une éternité. Ce n’avait pas été un rêve, ou si ça en avait été un, il avait été créé par quelqu’un qui en avait après moi.
Je détachais la cire de mon ventre, et en dessous la marque de brûlure était si intense qu’il ne pouvait s’agir d’une brûlure à la cire. J’avais donc bien été enlevée, et on m’avait bien torturée. Je devrais être morte. J’avais toujours ma langue, donc à moins qu’on m’ai fait boire une potion de régénération, ce qui aurait dû effacer la cicatrice sur mon ventre, cela avait été une illusion. Tout à partir de la langue avait été une illusion. Sinon je serais morte ou estropiée.
Je me décidai enfin à quitter mon lit, à m’habiller, et à conduire ma roulotte jusqu’à la maison familiale. En pleine nuit. Une fois revenue à la demeure Cornebouc, je confiais à un esclave mes chevaux et fonçai jusque dans ma chambre, pour dormir d’un sommeil très agité et empli de cauchemars. Je n’oublierai jamais la sensation du fer rouge sur ma peau, sur mes yeux, dans ma bouche, la sensation du scolopendre sur mon visage, dans ma gorge et dans mon ventre, la sensation de mourir la gorge tranchée. Je n’oublierai jamais rien de tout cela. Ma tante, la vraie, son sourire narquois hantant mes songes, n’était qu’à quelques dizaines de mètres de moi.
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