15 décembre de l’an 0
Mes jambes ne me portent presque plus, j’ai le souffle court et j’ai l’impression que mon cœur va exploser.
La journée avait si bien commencé, je voulais visiter la capitale de la République et j’ai débuté par les quartiers marchands, m’enfonçant toujours un peu plus dans les ruelles. Au bout d’un moment, j’ai commencé à avoir faim et j’ai pris quelques brochettes de viande à un marchand ambulant.
C’est là où les ennuis sont apparus, sous la forme de trois hommes, habillés comme des ouvriers, qui ont remarqué que je payais avec des pièces du Reike. Le commerçant les a acceptés sans difficultés, mais un des habitants m’a dit :
Ici, on n'aime pas les étrangers, étranger !
Je ne suis pas d’un naturel très courageux, je lui ai donc répondu :
Mes excuses, je pars immédiatement.
Je quitte donc les lieux, mais je me rends alors compte que je suis suivi, j’augmente alors la longueur de mes foulées, mais mes poursuivants en font de même. C’est là que je me suis mis à courir, espérant trouver des agents de police, mais j’ai manqué de chance. J’ai alors vu une auberge, au nom bizarre, la Chèvre Ivre. Toutefois, je ne suis pas en mesure de faire la fine bouche et je me précipite à l’intérieur.
Je vois un établissement plutôt bien tenu et je cours en direction du comptoir, m’y arrêtant, car je suis incapable d’aller plus loin. Je me retourne et vois mes trois agresseurs, eux aussi essoufflés, mais ils ont sorti chacun, une dague et s’ils décident de m’attaquer, je vais devoir me défendre. Si les choses s’enveniment, je risque d’être blessé voir pire. Celui qui semble leur chef, prends alors la parole entre deux inspirations :
On va te montrer, l’étranger, que les Reikois ne sont pas apprécié ici, c’est notre pays !
Mes jambes ne me portent presque plus, j’ai le souffle court et j’ai l’impression que mon cœur va exploser.
La journée avait si bien commencé, je voulais visiter la capitale de la République et j’ai débuté par les quartiers marchands, m’enfonçant toujours un peu plus dans les ruelles. Au bout d’un moment, j’ai commencé à avoir faim et j’ai pris quelques brochettes de viande à un marchand ambulant.
C’est là où les ennuis sont apparus, sous la forme de trois hommes, habillés comme des ouvriers, qui ont remarqué que je payais avec des pièces du Reike. Le commerçant les a acceptés sans difficultés, mais un des habitants m’a dit :
Ici, on n'aime pas les étrangers, étranger !
Je ne suis pas d’un naturel très courageux, je lui ai donc répondu :
Mes excuses, je pars immédiatement.
Je quitte donc les lieux, mais je me rends alors compte que je suis suivi, j’augmente alors la longueur de mes foulées, mais mes poursuivants en font de même. C’est là que je me suis mis à courir, espérant trouver des agents de police, mais j’ai manqué de chance. J’ai alors vu une auberge, au nom bizarre, la Chèvre Ivre. Toutefois, je ne suis pas en mesure de faire la fine bouche et je me précipite à l’intérieur.
Je vois un établissement plutôt bien tenu et je cours en direction du comptoir, m’y arrêtant, car je suis incapable d’aller plus loin. Je me retourne et vois mes trois agresseurs, eux aussi essoufflés, mais ils ont sorti chacun, une dague et s’ils décident de m’attaquer, je vais devoir me défendre. Si les choses s’enveniment, je risque d’être blessé voir pire. Celui qui semble leur chef, prends alors la parole entre deux inspirations :
On va te montrer, l’étranger, que les Reikois ne sont pas apprécié ici, c’est notre pays !