22 janvier de l’an I
Avant, je n’aimais pas trop me balader dans les parcs de la capitale. Il faut dire que c’était le plus souvent pour accompagner ma mère et je devais marcher m’arrêter tous les cent mètres, car nous croisions une de ses connaissances. Heureusement, aujourd’hui ce n’est pas le cas, j’ai à mon bras une des plus belles femmes du Reike, du moins à mes yeux.
La douce Mirari que je ne connais que depuis quelques jours à su ravir mon cœur et j’en suis moi-même le premier surpris. Pour lui plaire, je lui montre les endroits les beaux du parc, avec sa grande roseraie, les fleurs roses, rouges et blanches embaument l’air avec leurs parfums délicats et un léger vent nous permet d’en admirer toutes les saveurs.
Puis, je lui montre la fontaine, avec un jet à plus de dix mètres de hauteur grâce à une antique magie d’eau. Il y a tout autour un arc-en-ciel permanent, du moins quand le soleil est bien haut. Cela rend la scène féerique et j’espère que la dame de mes pensées apprécie autant que moi ce moment. Je suis, comme d’habitude, habillé à la dernière mode, avec un pantalon vert olive, une chemise en flanelle blanche et une veste de couleur taupe. Cette couleur est très en vogue en ce moment.
L’épée de mon père, même si je ne sais guère m’en servir, est rangé sagement dans son fourreau, à mon côté. Nous sommes au Reike et rare sont les hommes et femmes libres qui ne sont pas armés. Il n’y a que les esclaves à qui le port de l’arme est refusé et il faut une autorisation de leur maître pour qu’ils puissent y déroger.
Je sens une douce odeur de chocolat dans l’air et je demande à Mirari avec un grand sourire :
Veux-tu boire quelque chose ?
Avant, je n’aimais pas trop me balader dans les parcs de la capitale. Il faut dire que c’était le plus souvent pour accompagner ma mère et je devais marcher m’arrêter tous les cent mètres, car nous croisions une de ses connaissances. Heureusement, aujourd’hui ce n’est pas le cas, j’ai à mon bras une des plus belles femmes du Reike, du moins à mes yeux.
La douce Mirari que je ne connais que depuis quelques jours à su ravir mon cœur et j’en suis moi-même le premier surpris. Pour lui plaire, je lui montre les endroits les beaux du parc, avec sa grande roseraie, les fleurs roses, rouges et blanches embaument l’air avec leurs parfums délicats et un léger vent nous permet d’en admirer toutes les saveurs.
Puis, je lui montre la fontaine, avec un jet à plus de dix mètres de hauteur grâce à une antique magie d’eau. Il y a tout autour un arc-en-ciel permanent, du moins quand le soleil est bien haut. Cela rend la scène féerique et j’espère que la dame de mes pensées apprécie autant que moi ce moment. Je suis, comme d’habitude, habillé à la dernière mode, avec un pantalon vert olive, une chemise en flanelle blanche et une veste de couleur taupe. Cette couleur est très en vogue en ce moment.
L’épée de mon père, même si je ne sais guère m’en servir, est rangé sagement dans son fourreau, à mon côté. Nous sommes au Reike et rare sont les hommes et femmes libres qui ne sont pas armés. Il n’y a que les esclaves à qui le port de l’arme est refusé et il faut une autorisation de leur maître pour qu’ils puissent y déroger.
Je sens une douce odeur de chocolat dans l’air et je demande à Mirari avec un grand sourire :
Veux-tu boire quelque chose ?