Dix-neuf mars de l'an I:
À bon chat, bon rat. Je n’ai jamais vraiment compris ce proverbe, mais il sonne bien et depuis que je suis entré dans le bureau de mon chef, le Cœur, j’y pense sans savoir exactement pourquoi. C’est sans doute, car je dois à nouveau accomplir une mission périlleuse :
La situation politique de notre nation est complexe, très complexe. Le chef de clan Voldemart a soutenu activement notre Roi et il serait malvenu de l’indisposer. Le problème est que celui-ci n’a encore jamais payé d’impôt, venant du Nord et nous ne pouvons pas, vu l’état de nos finances, nous permettre de faire des exceptions.
Je hoche la tête pour montrer mon accord. La guerre civile a coûté cher, très cher, et le trésor Royal à grand besoin de nouvelles rentrées d’argent. Mais ce n’est pas fini, puisque mon supérieur hiérarchique continu :
Toutefois, je ne peux pas vous laisser y aller seul, certaines personnes ne connaissent que les rapports de force et vous n’avez clairement pas le physique pour cela.
Là, je me sens insulté, je sais bien que je n’ai pas un corps de gladiateur, mais je me maintiens en forme, on peut voir mes abdominaux ! Enfin, on les devine, ce qui est déjà pas mal. Je garde toutefois mes observations pour moi, ne voulant pas faire de vague. Finalement, il conclut :
J’ai vu avec mon homologue et votre escorte vous attend devant les écuries du Palais.
Je n’ai plus qu’à lui dire :
Je vous remercie pour votre confiance, j’y vais de ce pas.
Après un dernier salut, je quitte les lieux. Heureusement, ce n’est qu’à une demi-journée de cheval, je n’ai donc pas besoin de retourner chez moi, prendre mon nécessaire de voyage. J’arrive donc sur les lieux en avance, attendant une sorte de colosse, avec des bras comme mes cuisses et armé d’une immense épée à deux mains, bref, la représentation de la Force.
À bon chat, bon rat. Je n’ai jamais vraiment compris ce proverbe, mais il sonne bien et depuis que je suis entré dans le bureau de mon chef, le Cœur, j’y pense sans savoir exactement pourquoi. C’est sans doute, car je dois à nouveau accomplir une mission périlleuse :
La situation politique de notre nation est complexe, très complexe. Le chef de clan Voldemart a soutenu activement notre Roi et il serait malvenu de l’indisposer. Le problème est que celui-ci n’a encore jamais payé d’impôt, venant du Nord et nous ne pouvons pas, vu l’état de nos finances, nous permettre de faire des exceptions.
Je hoche la tête pour montrer mon accord. La guerre civile a coûté cher, très cher, et le trésor Royal à grand besoin de nouvelles rentrées d’argent. Mais ce n’est pas fini, puisque mon supérieur hiérarchique continu :
Toutefois, je ne peux pas vous laisser y aller seul, certaines personnes ne connaissent que les rapports de force et vous n’avez clairement pas le physique pour cela.
Là, je me sens insulté, je sais bien que je n’ai pas un corps de gladiateur, mais je me maintiens en forme, on peut voir mes abdominaux ! Enfin, on les devine, ce qui est déjà pas mal. Je garde toutefois mes observations pour moi, ne voulant pas faire de vague. Finalement, il conclut :
J’ai vu avec mon homologue et votre escorte vous attend devant les écuries du Palais.
Je n’ai plus qu’à lui dire :
Je vous remercie pour votre confiance, j’y vais de ce pas.
Après un dernier salut, je quitte les lieux. Heureusement, ce n’est qu’à une demi-journée de cheval, je n’ai donc pas besoin de retourner chez moi, prendre mon nécessaire de voyage. J’arrive donc sur les lieux en avance, attendant une sorte de colosse, avec des bras comme mes cuisses et armé d’une immense épée à deux mains, bref, la représentation de la Force.