Seize octobre de l’an 0 :
Oyez, oyez, bonne gens, damoiselle et damoiseau ! Osez entrer dans l’arène, là où tout se joue. La place où les braves se révèlent et les pleutres tombent !
Ce genre de boniment, me laisse complètement froid d’habitude. Cette espèce de fête foraine avec monstre de pacotille, cracheur de feu, magicien et épreuve de force ne m’a jamais enchanté. Mais cela ne semble pas être le cas de ma rencontre arrangé de ce jour et j’essaye de faire contre mauvaise fortune, bon cœur.
Je fais surtout cela pour faire plaisir à ma mère, même si la représentante de la famille noble, venu avec sa famille en République pour affaire, une rousse plate comme une planche à pain, avec des cheveux fillasse et habillé tout en rose bien pétant ne me plait guère. Il y a des couleurs qui sont à proscrire et j’ai devant moi une véritable déclaration de guerre au bon goût.
Mais le pire reste à venir, car elle me prend très familièrement par le bras et commence à minauder :
Mon cher, vous ne voudriez pas être mon champion ? Cela me ferait tellement plaisir.
Je me retiens de lever les yeux au ciel. Je ne suis pas un combattant, préférant de loin me retrouver loin de l’action, si possible même en dehors, voir au-delà du danger. Mais je ne peux pas lui avouer mes pensées, celle qui m’a mise au monde compte sur moi. Je lui réponds donc en souriant, tout en espérant que la sélection des candidats sera déjà terminée :
Bien sûr ma chère.
Nous arrivons donc dans l’arène, un ancien cirque en pierre qui devait servir aux pièces de théâtre et a aujourd’hui a transformé en scène de combat. Un camelot harangue la foule, indiquant avec beaucoup d’emphase :
Il reste encore une place, alors, à qui le tour ?
A mon grand désespoir, personne ne se présente et je suis donc obligé, la mort de l’âme de m’avancer. Le Monsieur Royal du pauvre indique ensuite le menu des festivités :
Vous allez prendre chacun une boule, et vous formerez un duo. Le but est de combattre un duo adverse. Les gagnants se combattent ensuite entre eux, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que deux, qui affronterons alors nos champions !
Oyez, oyez, bonne gens, damoiselle et damoiseau ! Osez entrer dans l’arène, là où tout se joue. La place où les braves se révèlent et les pleutres tombent !
Ce genre de boniment, me laisse complètement froid d’habitude. Cette espèce de fête foraine avec monstre de pacotille, cracheur de feu, magicien et épreuve de force ne m’a jamais enchanté. Mais cela ne semble pas être le cas de ma rencontre arrangé de ce jour et j’essaye de faire contre mauvaise fortune, bon cœur.
Je fais surtout cela pour faire plaisir à ma mère, même si la représentante de la famille noble, venu avec sa famille en République pour affaire, une rousse plate comme une planche à pain, avec des cheveux fillasse et habillé tout en rose bien pétant ne me plait guère. Il y a des couleurs qui sont à proscrire et j’ai devant moi une véritable déclaration de guerre au bon goût.
Mais le pire reste à venir, car elle me prend très familièrement par le bras et commence à minauder :
Mon cher, vous ne voudriez pas être mon champion ? Cela me ferait tellement plaisir.
Je me retiens de lever les yeux au ciel. Je ne suis pas un combattant, préférant de loin me retrouver loin de l’action, si possible même en dehors, voir au-delà du danger. Mais je ne peux pas lui avouer mes pensées, celle qui m’a mise au monde compte sur moi. Je lui réponds donc en souriant, tout en espérant que la sélection des candidats sera déjà terminée :
Bien sûr ma chère.
Nous arrivons donc dans l’arène, un ancien cirque en pierre qui devait servir aux pièces de théâtre et a aujourd’hui a transformé en scène de combat. Un camelot harangue la foule, indiquant avec beaucoup d’emphase :
Il reste encore une place, alors, à qui le tour ?
A mon grand désespoir, personne ne se présente et je suis donc obligé, la mort de l’âme de m’avancer. Le Monsieur Royal du pauvre indique ensuite le menu des festivités :
Vous allez prendre chacun une boule, et vous formerez un duo. Le but est de combattre un duo adverse. Les gagnants se combattent ensuite entre eux, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que deux, qui affronterons alors nos champions !