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L’ombra venait de finir sa journée de travaille dans la forge il était épuisé, pour une fois les commande se sont enchainé, sa n’a pas arrêté de la journée, mais la journée ou le travail ne venais que de commencé. Il du se lavé en vitesse et s’habillé le plus rapidement possible pour pas arriver en retard chez son employeur.

Il passa de toit en toit pour arriver devant une grande bâtisse a colombage, Tanyl passa par une fenêtre pour gagner du temps. Personne ne le vit passé rentre.
Il trouva le bureau de son employeur attendis de reprendre son souffle est rentra d’un pas décidé est professionnelle.

- Qu’elle est la mission, Jerry ?

L’interlocuteur était un homme âgé, chauve est bien habillé d’un trois pièces

- Rhaa ne m’appelle pas comme ça, venez au plus important je veut que vous tué M.Conor et vous avez trois jours au prix habituelle.  Sur ce l’entrevu est terminé.

Sa son ton était froid et machinal.
L’ombra ne dis pas un mot de plus et sortie de la pièce. A la sortie un domestique lui remis l’adresse de la cible, le serrurier lui pris est se mit en route ver sa cible.
Il habité dans un quartier nord de Ikusa dans un quartier ou les maisons sont toute collé ensemble, ce qui est un désagrément quand les murs sont fins mais un avantage pour passer de toit en toit ce qui était justement la stratégie de Tanyl.
Sa tenu bleu nuit se fondé parfaitement à la soirée on pouvait juste voir le reflet de la lumière de la lune sur ses dagues ce qui crée un effet que l’ombra adorais.

L’ombra se rendit sur le toit de sa cible.
C’est là que le vrais travaille commence, qu’il va falloir attend hien..

Coupé dans sa réflexion l’ombra vit à quelle que mètre de lui un homme sur le même toit que lui.

- T’es qui toi, es qu’es que tu fou là.

La voix de l’ombra était calme est posé.

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Aazel Leviathan
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Aazel Leviathan
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I just win - Thoroughly - After all, winning isn't everything but wanting to win is.

Parfois j’aurais aimé écrire de la façon dont je pensais, obsessivement, sans répit, avec un appétit de dément. J’écrivais jusqu’à m’en suffoquer, à en perdre le sommeil, à en perdre la raison. J’écrivais à m’en foutre en dépression, j’écrivais parfois sans même savoir pourquoi je le faisais. Il m’apparaissait évident après des années à me buter sous l’encrier que ma relation avec cet art n’avait rien de sain, ou même de sensé. J’écrivais pour éviter de me tuer, ou de tuer, j’écrivais, car c’était comme une si force invisible allait éclater ma cage thoracique si je ne le faisais pas, une force, qui grandissait entre mes côtes comme une tumeur, composée de tous les mots que je n’avais prononcés. Donc.  J’écrivais.

Voilà ce qui me travaillait l’esprit alors que j’étais posté sur un toit à observer ma cible. L’homme n’avait rien de bien intéressant à son sujet, tout indiquait d’ailleurs que son existence et sa survive n’était que le fruit d’un concours de circonstances hasardeux. Cela tenait du miracle comment certaines personnes devaient lutter chaque jour pour leur propre survie, et comment certains, comme ce gros porc, arrivaient à se faufiler, profiter d’un système haïssable en s’enrichissant au damne de tous les insectes coprophages.  

Il ne tarderait à pointer le bout de son nez, et ce serait un assassinat facile. Une façon aisé de se faire un petit billet rapide pour qu’on est de quoi se nourrir avec Charlotte. C’était un mode compliqué, notamment parce que j’avais du payer pour un petit nombre de lubie, et de crises qui m’avaient assailli.

Chaos ne m’avait pas parlé depuis presque une semaine, elle s’était fait muette, se contentant de m’observer de loin. Comme si je l’avais déçu, comme si elle n’était plus fière de celui que j’étais devenu, ou peut-être plus simplement qu’elle réfléchissait, sereinement à une suite pour nos actions. Pour nos plans. Peut-être qu’elle voulait chercher quelle prochaine destination nous profiterait, mais le fait est que je n’avais pas eu de nouvelles depuis trop longtemps. Et cela expliquait sans aucun doute pourquoi j’étais maintenant d’une humeur massacrante. Je m’impatientais par le manque d’action, et par le calme apparent, synonyme dans ce monde fantaisie de rebondissement de situation en tout genre. Je. N’étais. Pas. D’humeur. A. Des. Rebondissements.

Quand une voix se fit entendre.

« Vous devez vous foutre de ma gueule putain ! »

Lançais-je dans sa direction.

« Qu’est-ce que toi putain tu fais là, qui vient se balader sur des toits la nuit bordel de merde ? »

J’aurais totalement vrillé si je n’étais pas en mission, et donc dans l’incapacité de faire trop de bruit. J’avais besoin de cet argent, et je ne laisserai aucune facétie du destin m’en priver. Je lui lançai un petit regard bref pour prendre conscience du bestiau qui me faisait face. Pas très grand, pas très épais, une tête de fuckboy, sûrement un gamin qui s’était perdu en faisant de l’urbex ou je ne sais quelle connerie d’adolescent et qui évidemment m’était tombé dessus.

« Ecoute Kiddo, c’est pas contre toi hein, mais y en a un qui travaille, si tu pouvais déguerpir au plus vite ça m’arrangerait, et honnêtement ça t’arrangerait aussi. » Disais-je en l’envoyant bouler d’un signe de la main. Je refermais ma veste noire qui ne suffisait pas à me protéger des coups de vent et reporter mon attention en direction de ma cible.

Trop de bonnes histoires commencent sur un quiproquo et quelques mots.



Anonymous
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Tanyl regarda son interlocuteur et se mit à l’étudier. Un grand drakyns aux cheveux en bataille avec une tête d’insomniaque drogué. Comment dire un gars bien particulier quoi.

- Je ne me balade pas je travaille est toi ta pas répondu à mes questions.


Le ton de l’ombra se durcis surtout sur les mots tu ne réponds pas à mes questions. Bon bon bon, objectivement je suis sur un toit en plein nuits j’ai un mal poli à coté en plus il hurle se con, je crois que le principe d’être discret il la pas saisie. Alors comme ça il travail lui aussi. Sa va pas le faire même si c’est une cible diffèrent on va se gêne. Il me menace j’aime bien voila quelqu’un qui les portes. Voyons voir s’il les portes jusqu’au bout.

- Bon seul hic tu ne fais pas peur du coup ta menace ne marche pas sa fait éventail énervé du coup sa m’en touche une sans faire bouger l’autre. Le prend pas mal mais ses factuelle.


Son ton était calme comme une personne qui lancé une bombe mais qui s’en fout du résultat. Ce je m’en foutisme était que façade, il regarda avec précision les réactions que ça allait faire chez son interlocuteur. S’il s’énerve plus c’est que bon il n’a pas les épaule pour un telle travaille. Car la colère ne libère pas des chaines mais nous enferme est nous rend incapable de bien travaillé surtout dans un travaille aussi dangereux.

- Es-ce que c’est Jerry qui ta embauché ? Si oui on est collègue du coup je pense qu’on n’a pas à se tiré les cheveux pour rien.

Son ton était redevenu calme est neutre comme a son habitude.

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Aazel Leviathan
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Il travaillait ? Oh non… On était pas encore dans un cas classique de deux enculés qui ont pris le même contrat, et qui vont devoir coopérer avant d’inévitablement se trahir pour empocher une prime qui ne valait clairement pas autant de tracas ? Non. Je refusais.

« Je ne te fais pas peur ? Oh. Pardonne-moi. J’avais osé pensé qu’un peu plus de deux neurones arrivaient à transmettre les informations vers ton cerveau tuméfié par la connerie, mais il va falloir dégager fissa. Le talent de ressembler à tout le monde et à personne en même temps relève du génie. T’es la version humaine d’un yaourt nature, et métamorphe, super cool, mais je te supplie de dégager de ma vue. »

A qui pensait-il s’adresser ce petit enculé exactement ? J’allais lui montrer des choses plus factuelles encore en les enfonçant dans son urètre, et le faisant tousser d’un avant-bras de maçon dans le trou de balle. Sérieusement, son inconsidération m’insupportait, et je peinais à me contenir dans cette rage qui m’animait. Il avait l’air je me fous de tout au possible, et je mettais ça sur le compte de l’innocence ou de la fragilité. Mama raised no bitch. Et je n’étais pas prêt à me laisser marcher sur les pieds pour quelques pièces d’argent. Je n’avais aucune idée du genre de salope qu’il avait l’habitude de côtoyer, mais je n’étais pas l’une d’entre elle.

Et alors que je pensais qu’on en avait fini avec cette interaction sa voix s’éleva de nouveau. Comme un fantôme qu’on essaye de chasser avec un aspirateur dans un grand manoir flanqué d’une tenue verte, comme si ce fantôme ne cessait jamais de nous cyberharceler.
.
« Je veux dire … je n’ai aucune idée à qui tu penses putain de t’adresser, mais j’ai aucunement l’intention de donner le nom d’un hypothétique client à un sinistre inconnu. Je t’ai jamais vu dans le coin, ta gueule me revient pas, et plus important encore qui me paye ou non ne te regarde pas. Capiche Kiddo ? »

Je retournai en direction de ma cible, et qu’elle ne ce fut pas ma surprise quand je le vis commencer à partir au loin. Pendant cette embrouille il avait commencé un nouveau déménagement nocturne, il avait pris l’habitude de partir souvent pour ne pas se faire repérer. Putain, je devais le choper à sa sortie, et j’étais déjà à la bourre. Sans prendre garde à l’homme, je commençai à ranger mes affaires, ce même homme qui voulait que je lui donne mon patron avant de me donner son nom. Décidemment on avait tout vu ces temps-ci.



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Pas mal la punchlin de cet homme, franchement faut que je note car punaise sa percute, c'est intelligent une parfaite punchline. Le visage de l'ombra resta impassible car le travail avant les éloges. Il vient d'avouer qu'il bosse pour quelqu'un d'autre c'est parfait j'ai ma réponse. J'avoue j'ai la flemme de me mettre dessus pour un con du style est pour si peu d'argent un plus gros contra oui mais la non, ce serais une perte de temps.

- c'est compris te fait pas de bile, pas besoin de s'excite.

Son ton est resté calme. Merde la cible pars, ne faut pas la perdre de vu. La cible se mit dans une calèche et partie en direction du centre-ville. L'ombra se mit à courir de toit en toit telle Bateman ( heu non droit d'auteurs) un homme chauvesouris.

- aller bouge on va le perdre.


Il se mit à hausser le ton pour se faire entendre de l'autre chasseur. Une fois qu’ils sont côté à côté il se remis à parler.

- bon on a la même cible mais moi j'ai besoin que ça mains gauches pour finaliser le contra le reste je m'en fous. Tu peux le tuer si ça te fait plaisir pendant ce temps je m'occuperais des gardes. Allez sa part.

L'ombra fit une accélération pour commencer le plan mais au moment où il allait se jeter dans le vide pour tuer les gardes. Il arriva dans le centre-ville. Il se retint de justesse. C'est trop risqué il y a trop de monde. L'ombra se baisse pour pas se faire voir dans bas. Et merde, merde, merde, ça va être galère de le suivre sans se faire voir par lui ou les garde. - ta un plan ou pas ? Il fit un sourire de gros rat.

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Au moins le bougre (insulte homophobe pour l’anecdote voilà voilà), avait vite compris que ses tentatives de ressembler à Tony Montana ne fonctionnerait pas sur moi. En somme il n’avait pas l’air méchant, un peu collant, et neuneu aux premiers abords, mais définitivement pas méchant. Il me fit sourire quand je le vis courir, me devançant de quelques mètres. Il était affuté comme une version plus jeune et plus vaillante de ma propre personne. Il avait le don de prendre l’initiative je ne pouvais clairement pas lui retirer cela. Et c’était peut-être parce que je me trimballais un matos lourd à en crever, mais j’avais du mal à le suivre sans forcer sur mes muscles. Pas n’importe qui le gaillard. On avait la même cible ? Un coup de bluff ou non, je pouvais pas vraiment le savoir, mais dans le doute, je me fiais à mon instinct qui me disait qu’il était gentil, et je m’efforçais de garder le cap sans nouvelle invective. Il se jeta la tête de la première dans une foule tout à fait grouillante de monde, ou d’insectes cela dépendait entièrement du point de vue, et avec son intention meurtrière, je m’attendais au pire. Mais il sut se retenir.

Etonnant ?

Etonnant, n’est-ce pas. Ce petit n’était finalement pas si bête que je l’aurai cru il savait se contrôler, et je décidais de me glisser dans son ombre pour amortir ma propre chute avant de répondre à sa question.

« Un plan ? C’est simple on les piste, on les traque, on les abat. On est des dramaturges, pas des poètes. »

C’était peut-être cryptique, mais je comprenais mes pensées un peu brumeuses. Sortant de son ombre presque immédiatement, je dépoussiérais mes vêtements excentriques, lui lançant un regard joueur.

« Bon tu veux une main gauche c’est ça ? Très bien faisons un petit jeu. Ils seront une bonne dizaine à lui lécher les bottes, et le fait qu’ils vont surveiller ses arrières. Le premier à toucher le nez de la cible empoche la prime. Ça mettra un petit peu de challenge, non ? »

Je n’attendais pas sa réponse. J’infusais déjà de la magie dans mes jambes et renforçant ma vitesse, je m’élançais dans la foule. Je ne savais pas s’il arriverait à me suivre, mais je sentais une flamme dans le gamin. Qui sait peut-être que je pourrais lui apprendre un tour de passe-passe ou deux ?




Anonymous
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Comment sa un plan aussi simple ? il fait du freestyle pour ses mission sa me termine.

- On a toujours besoin de plan c’est comme une liste de course sa permet de pas s’éparpille et de pas faire des dépenses inutiles et surtout de gagné du temps pour l’assassinat c’est pareil on fait moins n’importe quoi est on blesse moins d’innocent. Plus ses détaillé mieux sais car on oublie moins de chose.


Le ton de l’ombra était un peu moralisateur mais surtout se voulait sympa.

Attend quoi empoche la prime, mais on a des primes différentes car on a des employeurs diffèrent ce n’est pas logique mais ça me parait fun.

- Azy sa part mais on empoche chacun sa prime… et tu m’écoute ?

L’ombra tourna la tête à l’endroit on devait se trouver son interlocuteur. Oh le bâtard il le vit plus à côté de lui mais bien loin en train de courir vers la cible. Faut que je le rattrape est vite car sinon ça va me passer sous le nez.

Le voleur se fondit avec la nuit il se mit à devenir transparent plus de couleurs noirs est rapetissa et fondit pour faire plus qu’un avec le sol. Il se mit à se déplacer telle un spermatozoïde dans une chaussette mais sur le bitume. Il allait plus vite qu’un être humain mais toujours moins vite que son concurrent. Une fois a bonne distance de la charrette il sortie du sol sous forme humaine est lança un grapin d’ombre sur le toit de la calèche. Son ombre ressemblé a une corde qui a sont bout Trois griffe qui se bloqua sur le toit de bois de la calèche. Grace a son pouvoir sa faisait un treuille qui lui permit de se retrouver sur le toit de sa cible.

Il s’assit et fit un coucou de la mains à son rivale.

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Oh ? Le gamin en avait plus en réserve qu’on aurait bien voulu le penser. Il n’était pas à prendre à la légère, et puis surtout cette maîtrise … Cette maitrise de l’ombre cela me rappelait une autre, qui suivait ma mère à la trace. Je me demandais bien où elle avait pu disparaître. A l’époque nous la considérions comme une membre de la famille avec Charlotte, mais du jour au lendemain elle avait disparu. Suivant ma mère loin de nos yeux, et loin de nos cœurs, elle ne nous avait laissé aucune trace, aucun un indice, aucun souvenir. Il était bon. Pas au niveau de ma mère, mais il pouvait se défendre sans aucun doute. Mais je ne comptais pas laisser ma proie s’en aller aussi aisément.

Courant à en perdre mon souffle, je projetais tout mon corps lourdement et j’envoyais ma francisque voler jusque dans les roues de la calèche. Celle-ci explosèrent violemment, le véhicule commença à tanguer et bientôt la bête qui poussait la calèche s’écroula. Si vivement arrêté, j’espérais que mon concurrent soit projeté au loin avant qu’il ne se rétame lourdement sur le sol, mais rien n’était moins sûr. Un garde sortit du véhicule pour vérifier qu’est-ce qui avait pu causer l’accident. Et il était bien reçu. A peine eut-il fait quelques pas pour regarder les alentours que je me jetai sur lui, toutes griffes sorties avant d’enfoncer deux aiguilles au plus profonds de sa rétine. Il cria sous la douleur, aveuglé, et je finissais sa souffrance en déboitant son crâne de sa colonne vertébrale. Le corps du garde s’écroula lourdement sur le sol.

« Tu vois gamin ? Parfois il faut savoir improviser. Je suis le premier à considérer qu’un bon plan suffit à accomplir ls plus grands exploits, mais parfois … Parfois il faut provoquer sa propre réussite. »

Je m’avançai vers la calèche. J’ouvrais la porte pour jeter à l’intérieur, je pensais déjà avoir gagné. Mais rien. Rien, pas la moindre petite trace de notre cible.

Putain.

J’avais aucune idée où est-ce qu’il avait pu se tirer, mais j’étais décidé à récupérer ma thune. Je devais manger à la fin du mois.




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