2 décembre de l’an 0
Vous ne pouvez pas me faire cela, c’est du racket pur et simple !
Les deux hommes qui me font face me sourit et le plus âges des frères me réponds :
Mais non, c’est juste une simple renégociation.
C’est tout bonnement incroyable, on a, à peine, mis un pied dans le territoire de la république et aussitôt mes gardes du corps qui ont été de parfais Reikois, fiables et compétents, se sont transformés en vampire assoiffé d’argent.
J’ai pourtant été sympathique avec eux. Je les ai même invité à l’auberge du village où nous avons fait halte, à quelques jours de Liberty, pour boire un verre et ils me poignardent dans le dos ! Ils savent que j’ai besoin d’aller là-bas pour mon travail et que je ne peux pas me passer de protection. Même si je me débrouille correctement à l’épée, je ne suis clairement pas un guerrier et en plus, je ne vais pas veiller toutes les nuits !
Bref, ils me tiennent et je tente de négocier :
Écoutez, Robert et Roland, je vous ai embauché à Kyouji pour une somme bien déterminé. Le job est simple, me protéger pendant mon voyage et maintenant que nous avons fait la moitié du chemin, vous voulez une augmentation, plus du double de ce qui avait été convenu !
Sans gêne, l’ainé me réponds sûr de lui :
C’est exactement cela, seigneur Reys, vous avez besoin de nous, personne ici ne peut faire le job.
Je serre les dents pour ne pas le menacer, je ne leur ai pas dit que j’étais contrôleur Royal, ma profession n’étant guère appréciée de mes compatriotes. Pourtant, j’ai bien envie de leur remettre les idées en place avec un bon petit contrôle fiscale des familles. Je suis en colère et cela se voit, mais mes interlocuteurs me regardent comme s’ils se moquaient de moi et je pense que c’est exactement le cas !
Vous ne pouvez pas me faire cela, c’est du racket pur et simple !
Les deux hommes qui me font face me sourit et le plus âges des frères me réponds :
Mais non, c’est juste une simple renégociation.
C’est tout bonnement incroyable, on a, à peine, mis un pied dans le territoire de la république et aussitôt mes gardes du corps qui ont été de parfais Reikois, fiables et compétents, se sont transformés en vampire assoiffé d’argent.
J’ai pourtant été sympathique avec eux. Je les ai même invité à l’auberge du village où nous avons fait halte, à quelques jours de Liberty, pour boire un verre et ils me poignardent dans le dos ! Ils savent que j’ai besoin d’aller là-bas pour mon travail et que je ne peux pas me passer de protection. Même si je me débrouille correctement à l’épée, je ne suis clairement pas un guerrier et en plus, je ne vais pas veiller toutes les nuits !
Bref, ils me tiennent et je tente de négocier :
Écoutez, Robert et Roland, je vous ai embauché à Kyouji pour une somme bien déterminé. Le job est simple, me protéger pendant mon voyage et maintenant que nous avons fait la moitié du chemin, vous voulez une augmentation, plus du double de ce qui avait été convenu !
Sans gêne, l’ainé me réponds sûr de lui :
C’est exactement cela, seigneur Reys, vous avez besoin de nous, personne ici ne peut faire le job.
Je serre les dents pour ne pas le menacer, je ne leur ai pas dit que j’étais contrôleur Royal, ma profession n’étant guère appréciée de mes compatriotes. Pourtant, j’ai bien envie de leur remettre les idées en place avec un bon petit contrôle fiscale des familles. Je suis en colère et cela se voit, mais mes interlocuteurs me regardent comme s’ils se moquaient de moi et je pense que c’est exactement le cas !