Quel temps de chien. C'est un temps à crever dehors, d'après toi. Tandis que Danyk lui, semble apprécier fourrer ses pattes dans la neige et la sensation du froid. Après tout, il ne faut pas oublier qu'il a une épaisse fourrure qui le garde plus au chaud que la plupart des vêtements "humains". Lorsqu'il aime partir chasser dans cette condition climatique, toi tu aimes rester à l'intérieur près d'un bon feu de cheminée, avec une coupe de vin, hors de prix et probablement accompagnée. C'est une proximité faite de luxure que tu t'autorises, d'après ton jumeau, trop souvent. Tu lui réponds à chaque fois qu'il est bien trop aigri, lui qui ne peut ni trouver son compte chez les "Hommes", ni chez les bêtes.
Ton commerce se porte bien, malgré les temps incertains. Les marchés parallèles existent depuis aussi loins que les lois ont été inventées et n'ont que rarement souffert de pénuries. Tout s'achète et tout se vend, tout dépend du prix qu'on est prêt à y mettre. Tu as assez de pouvoir pour être persuasive dans la majorité des cas et ne pas devoir justifier chacune de tes actions.
Ce jour, tu as envoyé l'un de tes hommes de main à la recherche de petites frappes, des pions qui auront leur importance le moment venu, dans l'un de tes plans. Tu as souvent des plans pour l'avenir, bien que tu sois assez souple pour les modifier et les faire évoluer. Les dites petites frappes, devaient créer une diversion à un endroit A, afin que tes hommes de main puissent entrer dans un endroit B. Une tâche plutôt simple pour des moins que rien courant les rues à la recherche du moindre sou gagné en en faisant le moins possible. Quelle déception alors lorsque l'on t'a rapporté que tes petits pions s'étaient fait agresser et que l'un d'eux était mort...
Un magnifique homme au corps d'Apollon, était entrain de te faire une gâterie, au coin du feu, comme tu l'aimes ; alors qu'on vint vous interrompre pour t'annoncer que ton plan organisé à la seconde près, avait échoué. Cormac et Randall avaient grogné simultanément sur l'intrus, prêts à lui bondir dessus pour le déchiqueter comme un lapereau. Tu savais pourtant que le coupable n'était pas le messager alors tu lui demandas de sortir et de se renseigner sur qui l'était.
- Reste à ta place.
L'Apollon n'avait qu'à d'abord terminer ce qu'il avait commencé...
Une demi-heure plus tard, tu te trouvais sur la scène du crime, les forces de l'ordre d'ores et déjà sur les lieux. Tu pus apercevoir le corps mutilé avant même de remarquer tout le sang qui avait teinté la neige, sûrement trop habituée. La traque commença.
Tu étais d'humeur joueuse malgré la météo, autant devais-tu en profiter. C'est pourquoi contrairement à tes habitudes, tu décidas d'aller sur le terrain. Tu appris que le coupable était un reikois, un homme important qui plus est. Cela te paru étrange, mais ne savait-on jamais ce que les gens cachent dans leur placard. C'est tout naturellement que tu te fis passer pour la simple cliente d'une auberge lorsque tu voulus aborder le suspect. Tu te rapprochas de lui, armée de ta coupe de vin rouge et tu ne perdis pas de temps. Tu l'abordas sans détours, avec assurance.
- Nous n'avons pas encore été présentés, il me semble ?
Ton commerce se porte bien, malgré les temps incertains. Les marchés parallèles existent depuis aussi loins que les lois ont été inventées et n'ont que rarement souffert de pénuries. Tout s'achète et tout se vend, tout dépend du prix qu'on est prêt à y mettre. Tu as assez de pouvoir pour être persuasive dans la majorité des cas et ne pas devoir justifier chacune de tes actions.
Ce jour, tu as envoyé l'un de tes hommes de main à la recherche de petites frappes, des pions qui auront leur importance le moment venu, dans l'un de tes plans. Tu as souvent des plans pour l'avenir, bien que tu sois assez souple pour les modifier et les faire évoluer. Les dites petites frappes, devaient créer une diversion à un endroit A, afin que tes hommes de main puissent entrer dans un endroit B. Une tâche plutôt simple pour des moins que rien courant les rues à la recherche du moindre sou gagné en en faisant le moins possible. Quelle déception alors lorsque l'on t'a rapporté que tes petits pions s'étaient fait agresser et que l'un d'eux était mort...
Un magnifique homme au corps d'Apollon, était entrain de te faire une gâterie, au coin du feu, comme tu l'aimes ; alors qu'on vint vous interrompre pour t'annoncer que ton plan organisé à la seconde près, avait échoué. Cormac et Randall avaient grogné simultanément sur l'intrus, prêts à lui bondir dessus pour le déchiqueter comme un lapereau. Tu savais pourtant que le coupable n'était pas le messager alors tu lui demandas de sortir et de se renseigner sur qui l'était.
- Reste à ta place.
L'Apollon n'avait qu'à d'abord terminer ce qu'il avait commencé...
Une demi-heure plus tard, tu te trouvais sur la scène du crime, les forces de l'ordre d'ores et déjà sur les lieux. Tu pus apercevoir le corps mutilé avant même de remarquer tout le sang qui avait teinté la neige, sûrement trop habituée. La traque commença.
Tu étais d'humeur joueuse malgré la météo, autant devais-tu en profiter. C'est pourquoi contrairement à tes habitudes, tu décidas d'aller sur le terrain. Tu appris que le coupable était un reikois, un homme important qui plus est. Cela te paru étrange, mais ne savait-on jamais ce que les gens cachent dans leur placard. C'est tout naturellement que tu te fis passer pour la simple cliente d'une auberge lorsque tu voulus aborder le suspect. Tu te rapprochas de lui, armée de ta coupe de vin rouge et tu ne perdis pas de temps. Tu l'abordas sans détours, avec assurance.
- Nous n'avons pas encore été présentés, il me semble ?