Liberty : l’une des plus grandes cités parmi celle que comptait le continent. Elle était la grande sœur de la merveilleuse Courage et la capitale de la République. Cela faisait bien une dizaine d’années que Solomon n’avait pas foulé les pavés de la cité millénaire.
Il avait quitté Courage voilà trois jours pour se rendre entre ses murs. Officiellement, il y allait pour rencontrer les hautes instances du pouvoir républicain en tant qu’envoyé du maire de Courage. Sa mission était de présenter ses respects aux dirigeants du pays au nom de la municipalité couragienne. Bien entendu, un esprit avisé pouvait aisément voir que tout ceci n’était qu’un subterfuge.
Tous les moyens étaient bons pour éloigner le fils de Courage de sa chère mère. Aussi longtemps qu’il demeurerait loin de sa cité, le sang ne coulerait pas.
Mais cette affaire arrangeait plutôt bien Solomon qui avait pris en sagesse durant son exil. Il n’avait pas oublié ce qu’il devait à la famille Alraxis mais il savait que s’il voulait faire couler le sang à Courage en toute impunité, il allait lui falloir l’aval de certaines personnes et la capitale regorgeait de nouveaux amis.
Toutefois l’accès à la Maison Bleue fut plus difficile que prévu. Un doute émergea alors dans l’esprit de Solomon. Est-ce que le pouvoir en place avait réussi un tout autre message ? Le faisait-on poiroter exprès ?
Le Renfield n’eut d’autre choix que de prendre son mal en patience.
Il occupa donc son temps libre à pavaner en ville, profitant de l’art de la cité et de ses tavernes. Malgré son statut et son prestige, le Renfield appréciait grandement les auberges et autres rassemblement populaire. C’était dans ce genre de lieu qu’il était le plus a même de décrocher des talents.
Ses pas le conduisirent devant le « Bruit qui Court ». Le nom amusa le patricien qui bloqua brièvement son regard sur un crieur public postait non loin de l’établissement.
-Il fait beau ! J’ai mal au dos ! Voici les info’ ! Çà vient de tomber : le prix de la soie chute en raison d’une forte importation de Kaizoku. La bulle est en train d’éclater et bon nombre de financiers sont paniqués !
Le Renfield plissa les yeux avant de finalement se désintéresser et de venir franchir la porte de l’établissement. Son regard papillonna, avisant les présents avant de leur accorder un signe de la tête. Ses pas le conduisirent à une table ou il prit place après avoir écarté brièvement la cape pendant à sa spalière.
Son regard alla à nouveau vagabonder dans la pièce, cherchant ce qui aurait pu être des mercenaires.
Il avait quitté Courage voilà trois jours pour se rendre entre ses murs. Officiellement, il y allait pour rencontrer les hautes instances du pouvoir républicain en tant qu’envoyé du maire de Courage. Sa mission était de présenter ses respects aux dirigeants du pays au nom de la municipalité couragienne. Bien entendu, un esprit avisé pouvait aisément voir que tout ceci n’était qu’un subterfuge.
Tous les moyens étaient bons pour éloigner le fils de Courage de sa chère mère. Aussi longtemps qu’il demeurerait loin de sa cité, le sang ne coulerait pas.
Mais cette affaire arrangeait plutôt bien Solomon qui avait pris en sagesse durant son exil. Il n’avait pas oublié ce qu’il devait à la famille Alraxis mais il savait que s’il voulait faire couler le sang à Courage en toute impunité, il allait lui falloir l’aval de certaines personnes et la capitale regorgeait de nouveaux amis.
Toutefois l’accès à la Maison Bleue fut plus difficile que prévu. Un doute émergea alors dans l’esprit de Solomon. Est-ce que le pouvoir en place avait réussi un tout autre message ? Le faisait-on poiroter exprès ?
Le Renfield n’eut d’autre choix que de prendre son mal en patience.
Il occupa donc son temps libre à pavaner en ville, profitant de l’art de la cité et de ses tavernes. Malgré son statut et son prestige, le Renfield appréciait grandement les auberges et autres rassemblement populaire. C’était dans ce genre de lieu qu’il était le plus a même de décrocher des talents.
Ses pas le conduisirent devant le « Bruit qui Court ». Le nom amusa le patricien qui bloqua brièvement son regard sur un crieur public postait non loin de l’établissement.
-Il fait beau ! J’ai mal au dos ! Voici les info’ ! Çà vient de tomber : le prix de la soie chute en raison d’une forte importation de Kaizoku. La bulle est en train d’éclater et bon nombre de financiers sont paniqués !
Le Renfield plissa les yeux avant de finalement se désintéresser et de venir franchir la porte de l’établissement. Son regard papillonna, avisant les présents avant de leur accorder un signe de la tête. Ses pas le conduisirent à une table ou il prit place après avoir écarté brièvement la cape pendant à sa spalière.
Son regard alla à nouveau vagabonder dans la pièce, cherchant ce qui aurait pu être des mercenaires.