revelations impromptues
Dans son bureau, le noble guerrier et commandant des Myrmidons regardait la paperasse qui commençait à s’accumuler. Il n’était pas un homme à remplir des tonnes de documents, mais en tant que commandant, il ne pouvait malheureusement pas y échapper. Après une dizaine de tampons et de signatures, Daemalor pencha son regard sur l’horloge lui indiquant l’heure qu’il était. Son rendez-vous n’allait pas tarder à arriver, le sourire se dessinait sur ses fines lèvres. Ses plans avançaient petit à petit.
Tout récemment, le Naeltigar avait appris qu’un homme avait assassine l’un des siens dans le but unique de permettre à un autre de prendre sa place. Tout aurait été parfait pour eux si Daemalor n’avait pas ses oreilles un peu partout dans le Royaume. Jetant un regard sur son fidèle compagnon, Nimue, la louve dormait paisiblement dans un sifflement peu anodin.
La porte se mit à toquer, un des soldats pénétra dans la pièce et lui fit part de la présence de son invité. Le guerrier posa sa hache sur la table et invita le soldat à le faire entrer.
Tanyl Olonan, commença-t-il, Serrurier, c’est ça ?. Daemalor allait le cuisiner, comme il le fallait. Il avait pris la vérité et comptait bien l’utiliser à bon escient, il le fallait. Ses ambitions étaient telles qu’il devait avancer prudemment. Il marchait clairement sur des œufs. J’imagine que vous vous douter de votre présence ici… continua-t-il, alors.
Tout récemment, le Naeltigar avait appris qu’un homme avait assassine l’un des siens dans le but unique de permettre à un autre de prendre sa place. Tout aurait été parfait pour eux si Daemalor n’avait pas ses oreilles un peu partout dans le Royaume. Jetant un regard sur son fidèle compagnon, Nimue, la louve dormait paisiblement dans un sifflement peu anodin.
La porte se mit à toquer, un des soldats pénétra dans la pièce et lui fit part de la présence de son invité. Le guerrier posa sa hache sur la table et invita le soldat à le faire entrer.
Tanyl Olonan, commença-t-il, Serrurier, c’est ça ?. Daemalor allait le cuisiner, comme il le fallait. Il avait pris la vérité et comptait bien l’utiliser à bon escient, il le fallait. Ses ambitions étaient telles qu’il devait avancer prudemment. Il marchait clairement sur des œufs. J’imagine que vous vous douter de votre présence ici… continua-t-il, alors.
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