- Rp précédent:
Depuis deux jours, date à laquelle la mère de Tagar les avait officiellement invités à l'accompagner à une soirée chez l'ambassadeur, Mirari n'avait plus une seconde à elle. Elle avait des milliers de choses à mettre en oeuvre et à gérer très vite car cette annonce avait fait germer une idée.
Puisqu'elle ne pourrait plus exercer son métier, elle avait envoyé une lettre à une connaissance de sa famille, tatoueur itinérant, lui demandant s'il acceptait de l'aider dans cette transition. Dans le même temps, elle surveillait attentivement les travaux dans sa maison familiale, la transformant, pour l'aile est, en nouvelle boutique avec son entrée séparée et pour le reste, restaurant le cachet qu'elle avait perdu avec les années. La partie habitation serait... Intéressante pour ses projets. Les journées étaient consacrées à Tagar et ses enseignements qui s'étaient fait encore plus intensifs depuis l'annonce de sa mère...
La jeune femme fatiguait un peu, ne comptant plus ses heures et sa nervosité à l'idée que certains qui la surveillaient estiment que la relation fut trop avancée avec le contrôleur. Elle comptait qu'ils cernent que ce fut surtout par intérêt pour qu'ils la laissent en paix, au moins un temps, pour finir d'élaborer la base de leurs projets. La pression devenait grande sur ses frêles épaules et la compagnie du blanc n'en était que d'autant plus appréciable. Car si elle ne rechignait jamais à un combat, quel qu'il fut, affronter des nobles, fonctionnaire, ayant ce titre depuis des générations qui jugeraient la nouvelle venue qu'elle était... Dieux, si elle ne finissait par tous les tuer, elle aurait de la chance.
Le mercredi soir, après avoir fait un retour à la suite qu'elle occupait chez l'oncle de Tagar, un bon bain prit pour être parfaitement irréprochable, la jeune femme l'attendait dans le hall. Habillée pour l'occasion, sans se départir du fourreau que lui avait offert Tagar et de la lame qu'il contenait, masqué simplement par un pan de sa tenue, les cheveux élégamment relevé, elle n'était pas nerveuse. Plutôt impatiente à vrai dire. Leur première sortie officielle qui l'introduirait dans le monde de la noblesse, marquant ainsi un tournant décisif... Et une porte d'entrée pour leur projet. Si elle parvenait à entrer dans les bonnes grâces de ces gens, qu'elle obtenait leur soutien, elle pourrait prétendre à un poste qui lui ouvrirait bien des portes...
Puisqu'elle ne pourrait plus exercer son métier, elle avait envoyé une lettre à une connaissance de sa famille, tatoueur itinérant, lui demandant s'il acceptait de l'aider dans cette transition. Dans le même temps, elle surveillait attentivement les travaux dans sa maison familiale, la transformant, pour l'aile est, en nouvelle boutique avec son entrée séparée et pour le reste, restaurant le cachet qu'elle avait perdu avec les années. La partie habitation serait... Intéressante pour ses projets. Les journées étaient consacrées à Tagar et ses enseignements qui s'étaient fait encore plus intensifs depuis l'annonce de sa mère...
La jeune femme fatiguait un peu, ne comptant plus ses heures et sa nervosité à l'idée que certains qui la surveillaient estiment que la relation fut trop avancée avec le contrôleur. Elle comptait qu'ils cernent que ce fut surtout par intérêt pour qu'ils la laissent en paix, au moins un temps, pour finir d'élaborer la base de leurs projets. La pression devenait grande sur ses frêles épaules et la compagnie du blanc n'en était que d'autant plus appréciable. Car si elle ne rechignait jamais à un combat, quel qu'il fut, affronter des nobles, fonctionnaire, ayant ce titre depuis des générations qui jugeraient la nouvelle venue qu'elle était... Dieux, si elle ne finissait par tous les tuer, elle aurait de la chance.
Le mercredi soir, après avoir fait un retour à la suite qu'elle occupait chez l'oncle de Tagar, un bon bain prit pour être parfaitement irréprochable, la jeune femme l'attendait dans le hall. Habillée pour l'occasion, sans se départir du fourreau que lui avait offert Tagar et de la lame qu'il contenait, masqué simplement par un pan de sa tenue, les cheveux élégamment relevé, elle n'était pas nerveuse. Plutôt impatiente à vrai dire. Leur première sortie officielle qui l'introduirait dans le monde de la noblesse, marquant ainsi un tournant décisif... Et une porte d'entrée pour leur projet. Si elle parvenait à entrer dans les bonnes grâces de ces gens, qu'elle obtenait leur soutien, elle pourrait prétendre à un poste qui lui ouvrirait bien des portes...
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